~Prologue~

Jadis, on racontait aux enfants dans le royaume du Fairy Tales que les océans étaient régis par les créatures marines les plus curieuses, faisant que les navires de pêche ou transportant d’innombrables merveilles chaviraient sans explications. Certains naufragés survivaient et racontaient alors des mythes sur ces magnifiques nymphes aquatiques appelées "sirènes".
De là, beaucoup d'intrépides tentèrent de retrouver et chasser ces enchanteresses, charmant par leur chant et dévorant le cœur des hommes. Les petits princes ne faisaient pas exceptions. Ces joyeux bambins fascinés par ces histoires faisaient vœu eux-mêmes de rencontrer ces beautés et en faire leurs dans leurs collections fascinantes à en perdre le compte des objets.
Toujours dans les jours de leur innocence, un aîné et son benjamin dévalaient les escaliers du palais afin d'aller contempler sans permission, l'immensité de l'étendue d'eau salée s'offrant à leur vision.
Jouant toujours ensemble à l'aide de leurs petites jumelles, les frères princiers avaient alors fait une drôle de découverte.
Effectivement, les fanfarons avaient trouvé sans problème ce que ces adultes avides d'ambitions n'avaient jamais réussit à attraper : une petite brune joufflue grimpant sur un rocher sur la plage tandis qu'une autre petite dans l'eau essayait de la retenir d'un air affolé. À première vue, rien de spécial si ce n'était que la scène était adorable et les deux enfants bien plus encore, mais ce qui était étonnant n'en restait pas moins le bas du corps se terminant en une jolie queue de poisson incrustée de perles scintillantes.
S'approchant plus près en se passant la main devant la bouche, les coquins observaient silencieusement la petite scène de ménage insolite se déroulant sous leurs yeux avec une étincelle de curiosité et d'admiration.

« –Qu'est-ce que tu racontes, Natsume, il n'y a personne alors je fais ce que je veux d'abord.
–Mais princesse, si vos parents le découvrent, nous aurons de sérieux ennuis puis nous ne savons jamais, les humains sont des êtres imprévisibles !...
–Tais-toi donc, et regarde comme l'air terrestre est agréable. Tiens, viens avec moi, monte.
–Aaaaah ! Non ! Je ne veux pas ! Au secours, ne me tirez pas comme ça !...
–Chuuut ! Des humains pourraient nous apercevoir, tais-toi donc, petite sotte.
–M-mais... KYAAAAAAAA ! »

S'écriait la violacée tandis que son agitation était entrain de causer sa chute du rocher glissant, bien que la brunette la tenait fermement par le bras. Mais à l'instant où les demoiselles auraient pu se faire mal, les deux petits garçons étaient sortis de leur cachette afin de les rattraper : l'albinos agrippant la "servante" pendant que le blond amortissait la chute de la capricieuse.
Dans ce retournement de situation où les créatures mythiques se retrouvaient nez-à-nez avec leur vis-à-vis humanoïdes, c'est la noiraude qui cette fois hurle de sa voix cristalline en scrutant ces gambettes qu'elle ne possédait pas.
Chez les sirènes, on disait que les Hommes s'en prenaient à leur espèce afin de les dévorer.

« NOOOOOOON ! Je vous interdit de nous manger ! Nous n'avons rien fait ! Natsume, sauve-toi ! »

S'exclamait l'agitée quand elle donnait des petites claques avec sa queue au pauvre cadet des princes qui déjà se défendait contre ses assauts :

« Calme-toi ! T'es folle ou quoi ?! On vient de vous sauvez les patt-... je veux dire les... euh... queue ! Alors ferme-la et remercie-nous ! »

N'appréciant pas que l'on la gronde, la princesse le toisait de ses prunelles larmoyantes avant d'éclater en sanglots et continuer de plus belle sans quitter les bras de son sauveur comme s'il n'était qu'un porteur.
Ce dernier, un peu las de cette agitation, éloignait la donzelle peu chaleureuse et poussait un soupir de désapprobation contre son frère :

« –Subaru... Ne sois pas aussi méchant avec elle, ce n'est pas étonnant que tu n'as aucun succès auprès des filles.
–Q-Quoi !? J'rêve ou tu la défends !? C'est elle qui a commencé à me mettre des coups de qu-...
–Subaru. Arrête de faire ton gamin et sois plus gentil. »

Continuait malgré tout le grand frère avant de se tourner vers la petite sanglotante afin de lui essuyer les larmes du revers de la main dont il ne se servait pas pour la porter dans ses bras comme avec un nourrisson.
Le calme revenu entre la fillette à la chevelure améthyste bien trop impressionnée par son sauveur pour suivre la conversation et l'impétueuse qui se laissait consoler par le gentil prince, ce n'est qu'une question de temps pour que ce joyeux groupe ne fasse connaissance.
Et au fil du temps, ils se retrouveront à la même heure sur cette même plage pour des retrouvailles et jeux en cachette.

Plus tard, alors qu'ils grandissaient un peu plus, la sirène royale avait dû renoncer un tant soit peu à retrouver leurs nouveaux amis dont elle éprouvait tant de curiosité à l'égard de son amoureux à la chevelure cendrée. Mine de rien, la princesse durant ce laps de temps qui durait en réalité des années, avait réussi à collecter des informations croustillantes sur ces êtres humains qui la fascinait tant.
Surtout dans le domaine de la reproduction, chez les entités marines, il n'était question que de répandre des œufs semblables à ceux des poissons sur lesquels le mâle lâchait sa substance séminale. Chez les humains, il en était tout autre ; il y avait ce magazine pornographique que la jeune fille avait trouvé dans les fonds marins par hasard, dedans il y avait toute sorte de "trucs et astuces" pour ressentir du "plaisir" avec un partenaire. Sans personne avec qui tester ces choses, son dévolu s'était jeté automatiquement sur la pauvre domestique qui avait la poitrine bien développée, bien assez pour la peloter de la manière indiquée par le livre.
Néanmoins, l'érotisme de la malheureuse coincée dans son palais bourgeonnait de jour en jour et tripotée son amie ne lui suffisait plus : ce qu'elle voulait c'était des jambes.
Dans ce but bien précis, encore une fois, l'intrépide avait entrainé la pauvre accompagnatrice d'expéditions périlleuses et elles étaient allées voir la sorcière Karl en réalité un homme pour cet échange suivant :

« Je vous donnerais des jambes tout en gardant votre queue en échange du souvenir de l'être que vous voulez voir là-bas, ma chère princesse. Bien sûr, je laisse ton amie l'intégralité de ses souvenirs, je lui demanderais juste de tenir sa langue à ce sujet. Oui, à chaque fois qu'elle essaiera de vous en parler, un maléfice fera que sa bouche se fermera automatiquement.
Encore une chose, si vous n'arrivez pas à copuler avec vos amants respectifs et que vous ne vous aimez pas, alors dans trois mois, vous serez transformées en écume de mer.~ »

La pauvre Natsume avait pâli à ses mots et ne tardait pas à raisonner l'entêtée royale. Mais celle-ci toujours bien trop curieuse et aventurière, ne tardait pas à accepter le marché sans demander l'avis de son amie.
Un dernier sourire s'affichait sur le visage du triton enchanteur avant que leur vision ne se brouille et qu'elles se retrouvent sur la plage............ complètement dénudées.

Du côté des jeunes garçons ayant tout aussi grandi dans la beauté de leur genre, ils avaient toujours été affectés par la disparition de leurs tendres ce qui avaient provoqué chez eux un malentendu et depuis, leur relation était limitée à de simples retrouvailles sur cette fameuse plage, sans même s'adresser la parole.
Oui, chaque jours, ils allaient voir après leurs obligations, si les petites –sûrement devenue grandes et magnifiques– ne reviendraient pas prendre de leurs nouvelles.
Cependant, un jour important, celui du sacrement, les deux jeunes gens n'avaient pas pu s'y rendre comme à leur habitude et sacrilège, c'était à ce moment que les jouvencelles aidées de leurs nouvelles jambes s'étaient échouées.
Manque de chance, d'une heure, ils les avaient manquées, toujours dans cette triste mélancolie, ils se promettaient d'enterrer ce rêve à l'intérieur de leur cœur. De toute façon seraient-ils promis à d'autres princesses du compté.

–2 mois et 2 semaines plus tard–

Le couvent était parfois désert sans une âme qui daignait se repentir : Dieu faisait bien trop peur pour des personnes corrompues par le vice.
Dans la tristesse et l'ennui, les beautés demeuraient en bonne sœurs dévouées à leur Seigneur.
Pendant ces mois, les paroles du sorcier résonnaient dans leur esprit, cependant, pas une seule chance de retrouver leurs amours perdus, d'ailleurs, bien que l'éternelle asservie de la princesse se rappelait de tout, jamais n'avait-elle pu se résigner à abandonner sa précieuse amie entre les mains d'un prêtre aussi corrompu que les autres.
Bien plus que la nostalgie, la souffrance de ne rien pouvoir divulguer à la brune ne faisait qu'empirer la situation déjà presque à son terme.
C'est alors que des hennissements de chevaux se faisaient entendre de l'extérieur et bientôt rentraient deux gentlemen l'un détaillait se ses prunelles iolite la bonne soeur amnésique tandis que l'autre croisait des bras et grognait des choses incompréhensibles.

« Tch ! Alors quoi, pourquoi, on est là, Shuu !?
Me déranger pour aller dans une église miteuse, tu es complètement c-...
Hein ? Mais vous deux... »

S'arrêtant trois secondes de râler, le prince aux éclats de braise dans son regard, le faisait passer d'une fille à l'autre qui lui semblaient familières.
Mais c'était trop pour la cervelle de l'argenté qui abandonnait de faire un lien quelconque, juste subjugué par tant de beauté inouïe.
En effet, de tout le vaste royaume, il pouvait dire sans les contempler de plus près que toutes deux avaient fleuri de la plus belle des façons. Bien évidemment, la jeune à la chevelure ébène ayant l'air trop difficile, il sentait plus d'attraction envers la seconde qui semblait elle aussi le fixer bizarrement.
Un peu gêné, le blanc-bec détournait son regard comme un puceau embarrassé pour la première fois.
Quant à cette brune, il était sûre qu'elle ne se laissait pas impressionnée par les beaux cavaliers, elle se contentait de les accueillir avec hospitalité.

« Bonjour messieurs, je suis sûre que vous venez confesser vos péchés ! ~ Prenez place dans les confessoires. »

Introduisait la curieuse qui n'avait pas oublié son intérêt pour les petites histoires érotiques que les beaux jeunes hommes avouaient en temps normal.
La façon dont ses yeux pétillaient de malice pouvait en témoigner.
Les faisant rentrer chacun dans un confessoire sans les écouter ni même demander leur avis, voilà qu'elle les enferme balance au-dessus de son épaule frêle :

« Natsume, tu prends l'homme de cromagnon ! Moi je prends le plus beau, je suis sûre qu'il a beaucoup de détails croustillant à raconter !~ »

Avec toute la franchise du monde, la voilà partie dans le confessional dicté tandis qu'elle ferme la porte derrière elle, pour consigner au mâle présent de commencer :

« Je vous en pris, racontez au Seigneur vos péchés inavoués. ~ »

Toute attentive et enjouée, la demoiselle, se collait presque poitrine contre la barrière les séparant dans le but de mieux entendre ce qu'il avait révéler.

Poussant un soupir exaspéré, le prince cadet ne pouvait que se laisser guider par la peste tandis qu'il cherchait quoi dire à celle qui se trouvait à présent au-delà du petit muret en se demandant d'où pouvait bien venir cette impression de déjà-vu.
D'ailleurs en y repensant bien, le parfum de sa tendre ressemblait au sien —il pouvait le sentir à la proximité à laquelle ils étaient soumis entre ces murs étroits—, c'est alors que ça fait tilte comme s'il venait de trouver la réponse à une équation ultra compliquée.

« Dis... Toi... On se serait pas déjà vu ?
J'ai l'impression que toi et l'autre sor-... Enfin ton amie, je vous ai vu... Près de la plage, en étant gosse. M'enfin d'après Shuu c'était qu'un rêve, mais je sais qu'il ment pour se garder le secret à lui tout seul. Bah oui, qu'vous êtes des sirènes. »

Ceux à quoi, il réfléchit à nouveau : il venait de les voir avec des jambes, de belles jambes élancées et distinguables sous leur robe de bonne soeur. Alors comment était-ce possible ?! Ce n'était pas des vraies sirènes ? Mais pourtant quand il s'était reçu des coups de queue pour la première fois, il l'avait senti passer.

« Enfaite, t'avais pas une queue ?... Enfin, tu sais, une queue de poisson je veux dire... »

Se ratrape-t-il en ne voulant pas parler de manière "ambiguë" avec son premier amour de jeunesse.

Ces prunelles fixant le cadrant, le temps s'écoulé et elles n'avaient pas encore revu les deux princes de leurs enfance, juste de vieux paroissiens. Sombrant dans le remord et la mélancolie, elle parle très peu, le regard terne. Elle s'en voulait de ne pas avoir eu le courage de protéger sa princesse. Elle n'avait pas eu le courage de l'empêchée de conclure un pacte avec le diable en personne certes mais elle la sauverai coûte que coûte même si elle doit y perdre la vie.
Effectuant le plus de tâche possible pour que cela paraisse le moins dur possible à sa brunette, elle est surprise des deux voix résonnantes dans l'enceinte sacré. Se retournant instantanément, quelques larmes se forment le long de ses cils. Observant l'argenté, il ne semblait pas la reconnaître.. le destin était donc si cruel?
Alors qu'elle commençait à désespérée, le cendré s'exclame à son tour, lui néanmoins semblait les reconnaître. Rassurée, elle s'apprêtait à lui faire comprendre la situation —en imaginant qu'elle sorte de mime elle pourrait utilisé pour lui expliqué qu'il devait déviergé la belle pour ne pas qu'elle succombe au maléfice— mais elle est prise de court par la princesse toujours aussi capricieuse. Se retrouvant maintenant dans la cabine du confessoir au côté de son être aimé, ses joues s'empourprent légèrement, bien qu'elle soit un peu blessée qu'il ne la reconnaisse pas.

« Je vous en pris, racontez au Seigneur vos péchés inavoués. »

Se contente de dire la violacée, tête baissé en espérant que Shuu sache y faire et qu'il puisse ainsi sauvé sa maîtresse.

« Tu as l'oeil on dirait... c'est bien moi Natsume et Hito-chan...
Ah? je n'ai jamais oubliée ces moments précieux.. c'était les plus beaux instants de mon existence.
Pour être franche j'ai commis un pêché impardonnable au royaume marin. J'ai fais des choses perverses par curiosité à la princesse.. j'ai trouvé un livre bizarre et je voulais voir.. ce que ça faisait.. ressentir du plaisir.
J'ai eu des soucis quand on m'a surprise.., on m'a condamner à me purifié à la surface sous peine de disparaître à jamais sous 3 mois si je n'y arrive pas. La princesse dans sa grande bonté à prit ma défense et se retrouve dans la même situation.
Il ne nous reste plus que 2 semaines avant de.. avant l'heure fatidique.  Mais..... je n'ai pas envie que de vieux pervers touchent la princesse... je m'en fiche de mon corps... mais pas la princesse.
Tu sais tout... La curiosité et le vice auront causés ma perte... je dois cependant sauvé la princesse.. là sera ma seule consolation. »

Maniant la vérité de sorte à lui suggérer quelques idées, elle fond en larme sous l'émotion et le trop plein de pression qui repose sur ses frêles épaules.

« Et vous deux... que venez-vous faire dans un endroit comme ça?.. ce n'est pas ton genre..
Je n'ai fais que parler de mes soucis.. je m'excuse.. »

S'enquit la jeune femme le coeur blessé.

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« Quand vas-tu mûrir ? ça fait des années que je te dis de ne pas faire le gamin à tout bout de champ. La raison me paraît évidente, tu as la réponse sous le nez. »

Assez dur avec son jeune frère, il est surpris qu'il ne reconnaisse pas les jeunes femmes et surtout la violacée. Il n'avait pas arrêté de lui en parler tout le temps, ayant même confesser son attirance pour la demoiselle. Bien que leurs rapport c'étais compliqué entre eux, il en restait pas moins protecteur dans l'ombre.
Alors qu'il allait demandé à parler à la brunette, il se retrouve en deux temps trois mouvements dans la cabine à devoir confesser ses pêchés.

« Bien.. j'ai eu un rapport sexuel hors mariage avec une jeune femme.
Je la connais depuis mon enfance et depuis mon enfance je nourris des sentiments pour elle.. j'en ai eu conscience réellement que à partir de ce jour.
Nous appréhendions tout les deux ce moment, craintive, je l'ai prise dans mes bras pour la cajoler et j'ai commencé à la caresser sensuellement, tout en la dévorant des yeux, ses prunelles de jais m'attire, cette couleur et si belle... que lorsque l'on la voit, on a plus envie de rien regardé d'autre sachant que nous pourrons trouver pareille beauté dans ce monde.
Pris par la passion, j'ai dévoré ses lèvres douces et pulpeuses de baisers torrides et langoureux, puis après l'avoir caresser toujours sensuellement le long de son corps aux courbes divines.. je l'ai faîte mienne en prenant la lune à témoin de nos ébats qui scellaient à jamais notre amour éternel.

Je me sentais léger et bien dans ses bras... mais malheureusement tout cela n'était qu'un doux rêve de mon imagination, depuis cet instant je rêve de pouvoir faire ceci dans la réalité, pensez-vous pouvoir me libérer du mal qui s'est emparé de mon imagination et de mon attribut masculin ?~»

S'amusant de la brunette en qui il avait vu dans son regard cette petite flamme de lubricité, tout un tas de question trottés dans sa tête comme «Pourquoi avaient-elles disparues d'un coup sans prévenir?» ou «Pourquoi avait-elle des jambes ? Où est passé sa magnifique queue de sirène ?»

Son sixième sens, lui avait fait ressentir quelque chose d'anormal en elle, comme si elle ne se souvenait plus de lui au point de le traiter comme un inconnu. Il avait aussi perçu l'expression mélancolique de la servante. Il y avait donc anguille sous roche.
C'était en faisant un tour au village qu'il avait entendu des rumeurs sur deux belles créatures à la petite église de province, avec les descriptions et par désespoir d'avoir perdu son premier amour, il avait eu envie d’espérer et d'aller y jeter un coup d'oeil. Mais maintenant qu'il l'avait retrouvé, un autre rempart semblait se dresser.
La charmant de sa rhétorique, il avait de plus en plus de mal à se contrôler.

Du côté de la curieuse passionnée par le récit fantasmant du jeune homme venant d'arriver, elle s'amuse à imaginer la petite scène dans son esprit, oubliant presque sa présence en l'ombre d'un instant.
La manière dont le blond avait conté son histoire lui faisait presque croire qu'il avait de l'expérience dans le domaine, et cela stimulait grandement la dépravée obsessive dans ce domaine qu'elle appréciait tant se documenter sans pour autant avoir pratiqué la chose.
En réalité, la prude avait tellement peu l'expérience du vice qu'elle ne voyait même pas la malhonnêteté des prêtres autour d'elle. C'était toujours Natsume qui la prévenait des risques sans lui en informer directement et c'était également avec elle qu'elle passait ses expérimentations sexuelles quand elle optait pour de nouvelles techniques sorties de ses lectures favorites.
Cette ignorance pour le sexe la rendait si curieuse que lorsque le cavalier lui proposait un essai, il fallait dire qu'elle était bien tentée.
D'ailleurs s'était-elle renseignée sur les amours interdits d'une religieuse et d'un inconnu venant se confesser. C'était exactement comme dans l'ouvrage, mais pour que tout soit parfait, la coquine devait jouer les vierges effarouchée en premier :

« M-mais voyons, monsieur, je suis une nonne et vous un gentilhomme... Nous ne pouvons pas... et surtout dans cet endroit...
Vraiment, vous êtes incroyable.~
Je suppose que je n'ai pas le choix, personne ne le sera, ce sera notre petit secret à tous les deux.~ »

C'est sur ces paroles empreintes de drame que la belle, paume de la main posée sur sa poitrine tambourinant d'excitation, les joues légèrement rougies, lui donnant un aspect érotique qu'elle ouvre le cadnas bloquant le muret entre leurs deux espaces pour n'en faire plus qu'un.
Ses prunelles pétillantes d'un éclat de débauche et de curiosité faisaient monter la température lorsque son entité voluptueuse vient se coller à la sienne posant gracieusement ses mains sur son torse robuste puis sa tête, ses seins rebondies se serrant contre son être masculin avant qu'elle ne lui demande sur un ton pure et sensuel :

« Dites-moi, mon bel homme, comment est-ce que vous comptez vous y prendre pour me convaincre de vous aider ?~
J'ai oublié de mentionner que je ne porte jamais de sous-vêtements sous ma robe parce que les prêtres nous ont dit une fois que les pucelles n'en avaient pas besoin.
Vous voulez voir ce qu'il y a en dessous ?~
Ce sera aussi la première fois que j'observerai cet endroit m'appartenant... »

Posant sa main sur celle du mâle, la douce installée sur ses genoux —sans aucune gêne— la guide à travers les tissus de son uniforme de travail avant de la glisser en dessous tout en soulevant le bas de sa main libre sans ciller.
Il fallait le dire : sa curiosité dépassait sa frayeur de la découverte.
Oui, elle avait envie de tester cette sensation appelée "plaisir", ce qui n'existait pas chez les créatures aquatiques.
Bizarrement, avec lui, la jeune fille se sentait en confiance comme si elle l'avait toujours connu alors que ça sonnait l'impossible.
Un homme et une sirène ensemble ? Il était évident que cela reviendrait à transgresser tous les péchés.
Et Dieu seul savait que la paillardise avait déjà pris possession de son âme insatiable de nouveautés.

« S'il-vous-plaît, montrez-moi ce qu'est le plaisir...~ »



En ce qui concernait la cabine à côté, un lourd silence s'était abattu après les révélations choc de la donzelle cachée derrière sa muraille fine comme du papier classe pour le ruminant. Évidemment que cela ne le mettait pas joie.
Même s'il avait retrouvé sa bien-aimée, apprendre que celle-ci par curiosité avait expérimenté l'acte sexuel avec sa propre amie pour ensuite se faire bannir... quelque chose clochait dans ce qu'elle disait.
Mais il n'arrivait pas à mettre le doigt sur quoi et plus il réfléchissait plus sa fureur et déception remontaient. L'albinos se demandait bien ce qu'il avait pu faire pour mériter cela, néanmoins, à présent il pouvait enfin se venger de l'attente qu'elle lui avait fait subir. En plus pour des raisons aussi vagues.
Se redressant de son siège après un moment de réflexion peu intense, le benjamin donne d'abord un coup de poing dans le grillage, déformant légèrement la structure avant d'arracher complètement le petit muret les séparant.
De cette manière, tous deux pouvaient se parler dans le blanc des yeux sans contourner ou raconter autre chose.

« Toi. Tu m'as bien fait attendre. Tu crois qu'en confessant ce genre de choses avec la sorcière et tout ces trucs de nonne, ça va m'arrêter ? N'oublie pas qui je suis.
Si tu me le demandes aussi clairement, je vais t'aider mais en retour, il faudra que tu me donnes autre chose, quelque chose que tu t'es donnée le temps d'avoir trop longtemps : ta liberté. Tu me serviras à partir de maintenant et ce n'est pas ton couvent qui va te protéger de moi.
Tu ne peux pas savoir à quel point j'ai attendu. Tous les jours, pendant des années j'ai attendu sur cette plage où je t'ai sauvée les écailles !
Tu n'es jamais revenue et à la place, tu m'as trompée avec ton amie !? Une princesse capricieuse ! Je sais qu'elle te menait la vie dure mais quand même tu aurais pu te venger autrement !
M'enfin, je vais te punir, ici et maintenant, alors regarde-moi bien dans les yeux.
Ce visage, ce regard, ce parfum...tout cela m'a tant manqué. Et puis... tu as l'air d'avoir bien grandi~ »

Après quoi, le sauveur entendant sa prière la soulève de son siège brusquement afin de bloquer son corps curviligne contre le sien virile en quête de rédemption.
Son attente avait développé ses fantasmes les plus secrets et maintenant, le mâle avait dû mal à savoir comment exprimer la joie de la revoir à ses côtés.
C'est pour cela, que ce sont ses lèvres incapables d'en placer une autre qui vont s'apporser aux siennes avant de les embrasser doucement, appréciant le retour des sensations amoureuses, puis de plus en plus torride.
Pas assez, son corps n'avait pas fini de se frotter contre le sien, par malice, par curiosité, par envie de tout redécouvrir chez elle, maintenant que tous deux avaient poussé.
Toujours pas un mots, seuls les bruits de baisers, et des vêtements en friction faisaient vibrer l'espace clôt.
C'est alors que le mesquin ne s'arrête pas là et entreprend bien plus encore lorsqu'il décroche les embouts qui faisaient tenir sa robe afin de la mettre à nue face à lui : ses yeux brillant d'une lueur grisante ne pouvaient que la dévorer mais plus que cela, la toucher de ses paumes baladeuses longeant le corps enchanteur.
Tout de suite, une main venait englober un de ses seins ballant tandis que son autre main était à la recherche de la source de son humidité. Lorsqu'il la trouve, deux de ses membres délicats n'hésitent pas à venir explorer et trifouiller l'antre chaud.
Bien sûr qu'il voulait quand même vérifier si elle était toujours vierge —sans savoir que le mécanisme des sirènes était différent de celui des humaines—. Résultats : pas d'hymen, elle ne l'était plus vierge ? C'était vrai ?
Vexé, le jeune homme n'a plus que son pantalon et bas à dézapper et retirant ses doigts de l'endroit à viser, il soulève sa cuisse pour la bloquer contre le même mur afin d'avoir accès à sa féminité à partir de l'engin sorti.
Le frottant avec langueur contre la fente vaginale prête à l'accueillir, il sourit d'un air vicieux.

« Je ne pensais pas que tu étais déjà une femme accomplie.
Demande-le moi, si tu le veux tant~ »

Elle ne s'attendait pas à une telle rapidité et réaction de la part de l'argenté, embarrassée de le voir aussi prês, elle détourne son regard en resserant sa prise sur sa robe.

« Att- ce n'est pas vraiment de la tromperie.. p-puis si on a fait des choses louches s'étaient par curiosité.. que si je fais quelque chose avec toi ça sera par amour.. du moins un amour différent de ce que je ressens pour Hito-chan..
Alors ne soit pas jaloux.. puis je suis la servante d'Hito-chan.. je suis pas sûre qu'elle accepte..
Je pensais... que tu m'avais oubliée... tu ne m'as même pas reconnu au premier regard alors que Shuu..
P-puis faire ça dans la maison de dieu.. ce n'est pas comme ça que tu vas racheté tes pêchés. »

Souffle la violacée en passant ses bras autour de son cou instinctivement. Depuis qu'il avait commencé à l'embrasser et la toucher, elle ressentait une étrange une chaleur envahir son corps, une étrange envie qu'elle avait de vouloir être dans ses bras.  Se laissant mettre à nue, elle passe son bras sur sa poitrine consistante et sa main sur sa féminité, ne portant pas de sous-vêtement, ses joues s'enflammaient d'autant plus en sentant son regard sur son corps découvert. Puis redressant ses prunelles pour contempler le torse viril du bel homme, elle redétourne à nouveau son regard.

« T-tu... Tu as pas mal grandi toi aussi, je vois que certaine chose ce sont assez bien développés..  Tu m'as vraiment attendu?  Tu n'as jamais eu envie d'essayer sur une autre femme? »

Lui arrachant quelques gémissements de sa voix cristalline, jusqu'à là elle ne découvrait rien de spécial ayant déjà eu à faire à sa princesse mais ce n'est que lorsqu'il dézappe le reste qu'elle est surprise de voir cette chose, scrutant avec embarras, elle se demandait bien ou pouvait-on mettre cette chose et à quoi servait-elle? Ça devait être lourd en plus à porter tout le temps sur soit.., mais d'après son raisonnement seul les hommes humains porter ça, quel faute de goût, ça n'avait pas non plus l'air d'être super tendance, ça ressemblait à une algue en plus consistant et peut-être moins visqueux, le regardant avec hésitation en le questionnant du regard, elle geint à nouveau en sentant la chose se frotter contre sa féminité.

« Subaru..Subaru qu'est-ce que cette chose?  Je n'ai jamais vu ça auparavant.. ç-ça rentre vraiment à cette endroit?.. c-c'est pas trop grand !? »

Surprise à nouveau par ces dernières paroles, elle cache son visage rougit contre son torse tout en ne cessant de couiner sensuellement sans vraiment y faire attention.

« Si tu veux parlé de ma virginité, je le suis encore à ces endroits, idiot pour qui crois-tu que je me réservai? C'est tout aussi important chez les sirènes que chez les humaines, trouver le bon. Mais c'est donc avec cette chose bizarre que l'on ressent du plaisir ?...

Aaaaah !? c'est trop embarrassant ce genre de chose. »

La chose bizarre s'enfonçant en elle, quelques larmes viennent perlées ses pommettes rosies dû à la taille assez conséquente. S'appuyant sur ses épaules en ne pouvant retenir ses gémissements de plus en plus tumultueux, elle ressentait peu à peu encore une nouvelle sensation, il était décidément assez doué pour lui faire découvrir tout un tas de trucs. Approchant son visage du sien en voulant lui mordiller l'oreille taquinement avec ce qu'il lui faisait ressentir, elle entend juste à côté quelques petites brides de petits cris étouffés de la brunette, souriant bien qu'elles se fassent prendre toutes les deux dans une église, elle se sentait apaisée de savoir sa brunette hors danger et se détendait un peu plus avec son prince.

« J-je suis toute conquise ~ »

Amuser par la faussement innocente –dont il avait tout de suite repéré le manège–, il la laisse agir à sa guise et place ses mains sur son fessier, jouant le jeu en la taquinant, il commence à malaxer de ses deux paumes larges chacune de ses fesses rebondies. Un sourire mesquin perché sur ses lèvres de pêcheur, il ne s'attendait pas à ce qu'elle lui tombe dans les bras ainsi, elle avait beaucoup changé depuis leurs enfance, que ça soit moralement mais aussi bien physiquement, ces formes s'étaient assez biens développées au point qu'il voyait mal un homme lui résistait.
Remontant l'une de ses mains dans quelques caresses torrides le long de son corps, il agrippe sensuellement son menton entre deux de ses doigts et lui impose ses prunelles azurées la dévorant.

« Je n'ai jamais vu une nonne essayait de pervertir un pauvre pêcheur venant se repentir.. c'est assez intéressant. As-tu pensée à la reconversion ?~ je ne suis pas sûr que ce métier soit fait pour toi.  
N'aimerai-tu pas plutôt devenir mon esclave sexuel ? ~ C'est ce qui te plairai le plus n'est-ce-pas hentai hime ? ~ »

Laissant la chaleur montait entre leurs deux entités, il appose ses lèvres contre les siennes doucement avant d'entreprendre de rendre un simple petit baiser pervers emplit de lubricité. Frottant sa bosse déjà bien formé contre la féminité mise à nue de la brunette, il sourit à nouveau mesquinement.

« On dirait que ta bonne a déjà commencé les festivités ~ Je suis sûr que tu en as tout autant envie n'est-ce-pas ? Tu as envie de goûté à ça ?~ »

Prenant la main de la prude, il la place sur sa bosse et l'aide à la caresser dans le but de l'excitée autant qu'il ne l'était.

« Alors ça t'excite ? Dis moi la vérité princesse obscène~ »

Après l'avoir bien taquiné et fait languir, le coquin déchire d'un mouvement sec sa robe dévoilant son corps dont il avait tant rêvé.  Ébahie par tant de perfection il contemple dans un premier temps sa volumineuse poitrine, qu'il vient baiser torridement de baisers brûlants d'excitations tout en caressant de manière osé sa cuisse découverte sur ses genoux.
S'appliquant en dévorant la moindres parcelles de peau de ses lèvres expertes, il enlève les derniers remparts séparant son membre déjà bien tendu  de sa féminité dégoulinante de cyprine, signe qu'elle était enfin prête pour le grand final.

La faisant encore un peu attendre, il la soulève doucement et vient la placer sur son membre érigé comme un pic. Et c'est dans des échanges de regards sulfureux entendus qu'il l'abaisse petit à petit sans non plus lui faire de mal. Étonné de ne pas sentir son hymen se brisé par son imposant phallus, il en conclut qu'elle n'était donc plus vierge et qu'elle ne l'avait pas attendu contrairement à lui qui s'était préparé rien que pour elle. Un peu dérouté, il entreprend directement des mouvements assez rapide visant son point culminant en ne l'épargnant pas. Sa poitrine se ballottant de haut en bas pendant qu'il a prenait sous son museau, il attrape l'un de ses tétons qu'il vient mordiller sensuellement tandis qu'il accéléré ses descentes en enfer et ses montés au paradis.

« Alors Hito, aimes-tu ça ? Vu ton expression et tes petits cris je fois en conclure que oui ?  
Humm ? Je ne t'entend pas assez ~»

Sur ses mots, il augmente encore la cadence faisant trembloté le pauvre petit cabanon menaçant pratiquement de s'effondrer.

Le fessier royal pris d'assaut, l'envouteuse frémissait des nouvelles sensations parcourant ses courbes parfaites, mais il n'y avait pas que cela, c'était aussi cette façon de la regarder avec lubricité, sa manière de flirter en utilisant ses mains avec son corps quémandeur d'obscénités. On pouvait entendre ses soupirs et gémissements siréniques par moment, signe que le charme du prince opérait à merveille face à la vicieuse.
Tandis qu'il lui proposait une reconversion, la religieuse niait avec un sourire innocent :

« C'est vous qui vouliez me mettre le grappin dessus avec votre histoire.~
Puis ce serait plutôt à vous de vous reconvertir.~
Est-ce que la vue sur mon être vous plaît ?~

Taquinait la douce aux rires cristallins pendant qu'elle se laissait contrôler le menton lorsqu'il rapprochait son minois du sien. Un peu gênée par cette proximité, l coeur lâchant, la princesse des eaux plisse les paupières sensuellement, la rougeur de ses joues s'accroissant, leurs lèvres se scellant une fois, puis deux. Il prend l'initiative de rendre le baiser plus ardent en enroulant sa langue mesquinnement autour de la sienne avec une telle habilité quand leurs substances chaudes salivaires se mêlaient et se séparaient en un fin filet lorsqu'ils les éloignaient pour reprendre de l'air. Mais c'était trop l'ambiance était déjà érotique et plus il la draguait, plus elle en avait envie, se traduisant par la mouille de son bas ventre. Et le coquin devait sûrement s'en apercevoir car elle sentait un petit monticule dur se frottait à cet endroit capricieux. Lâchant d'autres gémissements érotiques, la noiraude enlace son cou entre ses bras frêles, souriant d'un air enchanteur avant qu'elle ne fasse mention de son amie : alors comme ça, elle était entrain de s'amuser de son côté ? Elle qui avait l'air si gênée quand elles s'amusaient ensemble.
Elle ferait en sorte de l'embarrasser bien plus.

« J'en ai envie plus que tout avec vous.~
Vous avez l'air d'en avoir besoin aussi.~
Montrez-moi vite...~
Je vous chanterai la plus belle des mélodies.~ »

Sentant et tâtant la bosse entre ses doigts délicats en s'aidant de la main virile de son nouveau compagnon de jeu.
Peu après, il déchirait sa robe de nonne pour dévoiler un corps dépravé n'attendant que de se voir voler la virginité.
Il avait l'air de tant apprécier que la jouvencelle ne pouvait que jouer de ses atouts pour le faire craquer sous la langueur et le charme.
La jeune sirène étant dotée d'une grande sensibilité charnelle, ses baisers sur tout le long de son corps la tiraillauient, son souffle devenait plus saccadé et ses geignements plus audibles juste pour se faire entendre de la servante.
Elle le sentait, cette chose qu'elle désirait tant était sortie et se frayait un chemin jusqu'à son intimité.
Tremblant rien qu'à cette sensation, il s'échangent un regard consentant avant qu'il ne l'empale sur le monstre s'insérant petit à petit en elle. Ce que c'était bon, jamais de sa vie de créature des fonds marin elle n'aurait ressenti un tel plaisir. Ces nouvelles jambes étaient une bénédiction.
Puis elle ne savait trop pour quelles raisons mais le mâle si précautionneux au début, devenait si bestial en frappant directement là où elle était le plus sensible.

« A~~aaah ~ ! Q-qu'est-ce que-... Doucement... vous devenez si sauvage... alors que... haaa~ Le sexe, c'est mieux que je l'imaginais...
Oui, oh oui, continuez~ !
Plus fort... aaaaaaaaaah...~~~~ ! Je vais devenir folle... Mais c'est tellement bon... Vous savez vous y prendre... avouez combien de femmes avez-vous ramoné sur votre couche ou... même en dehors ?...
Mmmh~~~ »

Bougeant presque elle-même ses hanches tandis qu'elle prenait son pied, la débauchée en oubliait même l'affront de sa domestique. Elle en voulait toujours plus, elle voulait ressentir plus d'extase comme dans les livres qu'elle lisait en cachette.
Au bout d'un moment, n'en pouvant plus face à tant de sensations extatiques, l'ensorceleuse finit par atteindre en première le paroxysme de la complaisance.

« J-je... cette sensation... encore... toujours plus... apprenez-moi tout ce que vous savez~ »

Ce sentiment de familiarité se renforçait inconsciemment en elle au fur et à mesure que le vice s'emparait d'eux.
Qui était ce garçon si pervers pour coucher ainsi avec un bonne soeur ?
Sa main élégamment se pose sur la joue du séducteur et encore, leurs lèvres se rencontrent, mordillant sa lipe inférieure avec malice, la beauté des mers lui demande :

« Pourquoi ne pas devenir vous-même mon esclave sexuel ?~ hihi. »


Durant cet intervalle de temps, ça n'en semblait pas moins une fête chez les deux êtres se redécouvrant. Comment expliquer cette étrange sensation d'envie alors que cet amour d'enfance était basée sur l'innocence ? Son souffle se mêlait à présent au sien, les fantasmes de la retrouver se réalisaient enfin.
Pendant longtemps il l'avait attendue alors c'était encore mieux de la retrouver ainsi. Peu importe les circonstances.

« Tromperie ou non, je vais t'apprendre un peu.
Et puis de toute façon, tu n'as pas encore l'air de te faire à ton corps à ce que je vois, ni au moins alors je vais t'apprendre.~
Arrête de parler d'elle, c'est de moi qu'il s'agit et puis, n'oublie pas qu'elle ne pourrait pas te satisfaire autant que je le peux.
Tout à l'heure c'était une erreur d'observation de ma part mais cette fois, c'est mieux comme ça.
Comment oublier ton être, tu es la seule que je n'aimerais jamais, les autres chippoteuses ne sont pas mon genre. Comme l'a dit Shuu, je ne suis pas vraiment populaire auprès des femmes contrairement à lui. »

Réplique-t-il sur un ton détaché par rapport à ce que la demoiselle venait de demander.
Elle avait l'air de plus en plus consciencieuse de ce qu'il était vue sa gêne occasionnée par la vision de son simple torse. Et plus quand l'albinos s'amusait à la tirailler de son monstre prêt à l'action qu'elle semblait plonger dans ses pensées pour le détailler.
Pas aussi longtemps pour le détourner de son objectif qui était de la faire sienne peu importe les excuses qu'elle trouverait.
Ricanant amusée par son interrogation, le mâle lui répond :

« Ce que c'est ? L'objet de ton désir, celui qui te fera plus de bien que ce que vous faites avec la pimbêche. Hehehe. Plus jamais tu ne voudras me tromper après.~ Même si... je préfère que ce elle qu'un homme. J'espère bien. »

Après quoi, l'amouraché détendait sa proie avant de lui fournicoter son bâton du vice dans le fond de ses entrailles afin qu'elle ressente un avant-goût de ce qu'il lui prévoyait pour leur suite érotique.
Elle ne mentait pas réellement, elle devait être vierge pour être ainsi si serrée d'emblée, et plus il glissait son membre vers le point de plaisir de la belle qu'il cherchait avec langueur, le prince ressentait toutes les vibrations d'extases dans tout son corps.
Gragnan légèrement à ce sort enchanteur qui faisait de leurs entités des êtres corrompus par le délice nocturne d'une bon e partie de jambe en l'air, il commence ses vas et viens lentement pour bien la faire réfléchir et la frustrer.

« Alors comment la ressens-tu ta première fois dans ce cas ?~ Conquise, tu dis ?
Mais nous n'avons encore rien fait je te rassure.~ »

Sur ces mots et en contemplant les expressions faciales de la concernée, le juvénile ne peu que s'enfoncer plus et pousser cette luxure plus loin.
Jamais il n'avait compris le besoin pour un homme de faire l'amour à une femme mais quand il s'agissait d'amour, c'était beaucoup plus clair. Cette démonstration de chair, de nectar extatique. Rien de plus plaisant que d'entendre ces sons de sussions et d'aspiration de son phallus englouti par la démence de son labyrinthe de paillardise.
Sa seule voie du salut était d'atteindre le point de concupiscence et la faire tomber sans se plaindre dans cette voie indécente et lubrique.
Ramoner, Sévir et accélérer ses mouvements de pompage. C'était tout ce que son esprit lui dicté au moment présent où le chant de la sirène sondait la Raison de son esprit, de son imagination et de ses fantasmes les plus profonds.
Les murs de l'expiation tremblait à ses coups de "queue" tandis qu'il ne tardait pas à la retourner poitrine contre le froid de la faïence tandis qu'il reprenait ses déhanchés de plus belle dans l'orifice vaginale constamment créatrice de substance lubrifiante lui permettant de glisser bien mieux et lui faire découvrir le véritable bonheur d'être une femme aimée.

Le cendré quant à lui profiter assez bien de la situation. Usant de malice en chacun de ses gestes, le coquin l’assaillit avec plus de poigne et de bestialité à ces propos semblant le défié.

« Ah oui ?~ Le vilain petit prince avide du corps d'une petit nonne ~
Il me semble pas avoir besoin de me reconvertir qu'en penses-tu petite perverse ?~
Alors ? Que penses-tu de ta première fois ? Encore mieux que tes lectures obscènes ?~
Ah? J'aime beaucoup ce vilain corps me réclamant du plus profond de ces entrailles.»

Taquine à nouveau l'aîné des deux princes. D'après ses quelques observations c'est bien ce qu'il lui semblait. Elle n'avait pas l'air de se souvenir de lui. Il pensait pas néanmoins que ça soit volontaire, du moins avec les quelques choses qu'ils avaient fait à deux avant de se perdre de vu.. faisait qu'elle ne pouvait pas l'oublier. Il était assez curieux de savoir ce qu'il lui était arrivée. Se doutant bien qu'elle ne pourra plus l'éclairai sur le sujet, il se donne pour objectif de questionner la servante après leurs sulfureux ébats.

« Comme je te l'ai dis~
Une fois se rêve fait.., je ne pensais plus qu'à l'accomplir et c'est ce que je fais actuellement hormis que la lune ne soit pas notre témoin mais plutôt mon frère bruyant avec sa bonne.

Je suis pressé de t'entendre chanté les plus beaux chant de lubricité en mon honneur ~»

Souffle sensuellement le blondinet en mordillant coquinement son oreille pendant qu'il s'empressait de lui faire découvrir de toutes nouvelles sensations.
La sentant en venir en se cambrant, il contemple toujours avec ce petit air moqueur la belle brune au bout de sa vie.

« Alors? Déjà fatiguée ? Je te pensais plus tenace. Ah moins que tu souhaites un second round ? Ce qui m'étonnerai ma fois pas non plus ma chère hentai hime.»

Recouvrant une dernière fois sa poitrine de baisers brûlants et avide, passionné, c'est à contre cœur qu'il abandonne cet endroit qu'il semblait tant affectionnait pour la retourner et la mettre dos à lui. Plaçant ses mains sur ses hanches divinement sculptées, il reprend ses mouvements toujours en son antre vaginale, la forçant à s'appuyer contre la petite porte du cabinet.

Ayant une totale emprise sur son dos tout aussi magnifique que le reste de son corps, il baise avec même ardeur l'épiderme de sa nuque et descend petit à petit ses baisers en une ligne invisible. La retrouver ainsi après tant d'année de séparation, lui faisait un bien fous, bien qu'elle est un peu changée, elle restait toujours la femme qu'il chérissait le plus. Se délectant de son magnifique timbre de voix, il remonte ses mains perversement sur sa poitrine qu'il malaxe avec efficacité pinçant bien entre deux de ses doigts les tétons durcit de plaisir de sa dulcinée.

« Je suis content de t'entendre dire ça ~
Comme je te l'ai dis, ce n'est que ma première fois qui t 'est totalement destinée. Avec tout les fantasmes que j'ai plus imaginé sur la femme avec qui je le ferai sincèrement je pense que ça donne se résultat.

T'apprendre ? Je vais faire bien mieux ne tant fais pas ma toute belle ~
Viens avec moi, et tu verra qui sera l'esclave de qui~»

Souffle sur un ton provocant le prince en accélérant ses déhanchés se faisant de plus en plus endiablés visant bien à chaque fois du bout de son phallus son point sensible tout en continuant à administer de ses mains expertes le traitement assidue qu'il convenait à sa délicieuse poitrine.


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Émue par les propos touchants et maladroits de son prince, elle sanglote de bonheur et l'agrippe par le cou pour attirer son visage contre le sien. Encadrant son visage de ses deux mains blanchâtre, elle le contemple longuement dans les yeux.

« J'ai toujours aimé le magnifique éclat de tes prunelles écarlates.. tu as toujours été là à me secourir tel mon prince charmant.. ton regard sur moi.. tes mains chaleureuses.. tes mots maladroits mais emplit de gentillesse et de bonté d'âme.. ton parfum seul qui me rassure.. Tu m'as aussi manqué Subaru.. je t'aime.. alors ne me laisse plus jamais partir loin de toi..

Je ne te tromperai plus.. je ne suis que à toi corps et âme.. je te confis mon destin.. je vais faire de mon mieux de mon côté pour que tu sois l'homme le plus heureux qui soit.. Alors ne tant fais plus et aimons-nous comme des fous..! »

Quelques larmes coulant toujours le long de ses joues rosies, elle pose ses lèvres contre les siennes et ferme abaisse ses paupières pour un long baiser doux au départ devenant de plus en plus langoureux. Caressant ses quelques mèches argentés recouvrant l'épiderme de sa nuque, elle embrasse à plusieurs reprises sa joue pour descendre petit à petit sur ses épaules qu'elle couvre d'amour en plaquant bien sa poitrine développé contre son torse sexy. Le pêché de chair avec un humain était l'une des fautes les plus impardonnables qui soit pour les sirènes et le monde aquatique mais elle s'en fichait maintenant, il lui avait fait perdre toute rationalité et n'écouté plus que les battements de son cœur lui étant destiné. Tant qu'elle était entouré de sa princesse et de lui, sa vie ne pouvait que être complète. Geignant sensuellement, elle enroule ses longues jambes élancées autour de sa taille d'Apollon. Charmée par les râles de complaisance de son argenté, elle le dévore littéralement de baiser fougueux, excitée par tant de gémissement venant de ''partout''.

« Dans ce cas n'appartiens que à moi.. ne soit que à moi.. je veux me montré égoïste avec toi et ne te partager avec personne.. tu as réveillé tellement de sentiment fort en quelques minutes... je pourrai faire ce que tu veux.. »

Souffle la servante entres quelques gémissements. La sueur de leurs deux corps se mêlant pour ne faire plus qu'un ainsi que leurs substances leurs étant propre.

« Aaaa~~Hhhhh Je suis.. je suis totalement sous ton charme pour cette première fois.. mon esprit est embrouillé et je n'arrive plus à trouver les limites de la raison.. tu m'as tellement donner envie.. on dirait que j'ai fais ça toute ma vie alors que c'est ma première fois.. tu es vraiment un magicien hors pair.. M-mais si Hito-chan sait ça.. e-elle va vouloir me punir.. et si je cède t-tu vas me punir.. ? Aaaaah mon corps est prit entre deux étaux.. »

Plissant les yeux en se faisant maintenant prendre par derrière, poitrine collée contre la faience gelée, elle prend une posture et des expressions faciales qui ne peuvent que la rendre d'autant plus sensuel.
Plissant les yeux en le couvrant d'éloge et d'amour, elle ne fait pas attention au petit muret de bois qui s'effondre sous les coups torrides de son mâles. Embarrassée par la situation que n'importe qui entrant dans l'église puisse la voir ainsi, ses pommettes vires aux cramoisies tout en s'appuyant contre la pierre de la bâtisse.

« S-si quelqu'un nous surprend ? Aahnnnh~ tu es le prince de ce pays.. tu pourrai perdre ton image ainsi que l'image de ta famille..non? »

S'enquit l'améthyste subissant toujours ses coups de verges qui lui faisait perdre toute raison et la faisait petit à petit sombré dans le vice. Ne pouvant plus se retenir, elle finit par avoir son premier orgasme. Assez pudique, elle couvre son visage de honte qu'il est vu ainsi.

La gracieuse en proie au délice charnel ne se voyait pas vraiment céder face à ce mâle beau parleur mais la façon dont il la dévastait ne faisait qu'accentuer sa perte de contrôle d'elle-même.
Il avait beau dire, beau toucher et incruster, elle ne semblait pas touchée sentimentalement mais plutôt sensationnellement. Effectivement, les princesses sirènes étaient bien plus dur d'accès que les autres, cela en partie à cause de leur capacité émotionnelle égale à un bloc de marbre. Peut-être montrait-elle de l'intérêt pour le blond juste parce qu'il était doué dans ce domaine et lui ferait découvrir d'autres plaisirs autant savoureux et même plus. De toutes ses lectures, il était vrai que le gentilhomme se débrouillait tel un dieu en action.

« Prince ?~ C'est bien trop prétentieux.
Mais d'accord, je veux bien que vous me montriez ce que votre rang princier vous permet d'accomplir.~
Vous êtes irrécupérable, un vrai pécheur né. Impossible pour vous de vous reconvertir, vous entrerez dans l'Enfer du vice.~ hihi. »

S'amusait à jouer la princesse sceptique sur l'identité de ce bel homme. Qui ne voudrait pas se prendre pour un prince si c'était pour acquérir sa royauté des eaux.
Encore pouvait-elle se demander si réellement le jeune homme était puceau il y a peu, il semblait tellement calé sur la version des faits : juste des rêves humides. Quel coquin.~ Même elle avait pensé à tester sur sa pauvre servante alors ce n'était pas vraiment courant qu'un homme se retienne tant pour la femme de sa vie. Surtout qu'il venait juste de rompre sa promesse d'amour en fourrant sa verge dans son terrier.

« Vraiment quel vicieux...~ Je suis sûre que vous aimez tellement ça, vous aussi que vous ne tarderez pas à faire la collection des femmes avec qui vous ferez l'amour... Vous êtes pas si laid après tout... Je ne donnerai pas mon coeur à un laideron.~ »

Plaisantait la brune avant que ce dernier ne poursuivre ses grands déhanchés jusqu'à ce qu'elle jouisse et bien sûr que la curieuse ne voulait pas arrêter là, bien trop dépravée et avide de savoir qu'elles seraient les limites de leur duo de pécheurs. Faire ça dans la demeure sacrée ne faisait qu'accentuer l'excitation chez elle.

« Bien sûr que je n'en ai pas terminé.~
Tu es affreux de ne pas m'avoir accompagnée pendant que j'avais mon premier orgasme.~
J'aimerais voir cette substance de l'homme !~ »

À peine avait-elle énoncé sa réponse que le mesquin la disposait déjà d'une autre manière laissant juste le temps à l'enchanteuse de poser ses paumes à plat sur la paroi du confessionnal, secouée une fois de plus par le balancement de bassin de l'assaillant. Sa poitrine frottait douloureusement contre les motifs écorchés du muret mais recouverte aussitôt par ses mains chaleureuses.
Cette apparence humaine faisait qu'au bout de leurs seins, il y avait ces pointes qui durcissaient lorsque leur imagination obscène faisait son œuvre. Les humains les appelaient des "tétons". Non, les sirènes n'en avaient pas, leurs deux pastèques étaient aussi parfaites que ronde.
Mais grâce à ça, la belle ressentait encore plus de plaisir quand il les manipulait entre ses doigts vicieux.

« Comment ça ? Vous êtes un grossier personnage ayant brisé vos promesses d'amour à votre amante en vous tapant une pauvre nonne innocente.~
Hmmm... Eh bien, si vous arrivez à repeindre ces murs noirs de tristesse en votre substance masculine alors je vous révélerez mon secret et je vous suivrez.~ »

Se plaisait à défier la beauté quand son rire cristallin résonnait dans l'habitacle sans se douter que tapis dans l'obscurité des prêtres contemplaient en secret ces scènes pornographiques : elles étaient prêtes pour l'étape suivante se disaient-ils.
Mais c'était diablement exquis, cette position lui permettait de ressentir le bout de son sexe dans le plus profond de ses entrailles.
Son esprit se perdait dans l'immensité de cette complaisance surnaturelle entre ces deux entités insatiables et obscènes.


Du côté du prince asservissant sa demoiselle qui fondait en larmes de joie, tout autant que lui l'était sauf qu'il ne pleurait pas au contraire sa verge semblait enjouée en l'antre perverse de celle-ci.
Pendant qu'il observait les traits de son minois, elle lui parlait de ses sentiments, de son plaisir et son coeur.
Cela sonnait comme une victoire pour l'albinos qui continuait à boire ses douces paroles avant qu'elle ne l'embrasse. L'émotion chez le prince faisait que lorsqu'il était bien trop embarrassé, il ne savait que répondre, c'est pour cela que ses lèvres se bécotant à chaque pause marquée par un silence, ils finissent par s'embraser d'un baiser langoureux et limpide de sentiments amoureux.

« J'ai gagné alors, nos sentiments ont fini par triompher de tout ça. Je n'ai pas tout compris de cette histoire mais le principal c'est que tu sois là et hors de danger. »

C'est à ce moment que le coquin ayant bien profité du contact avec cette voluptueuse poitrine avait fini par la retourner face au muret afin de la mettre dans une position favorisant la complaisance chez les deux êtres malicieux.
Continuant ses roulement de tambour jusqu'à ce que le mâle se sente transporter au point de bientôt lâcher son essence de procréation en elle, il masse plus torridement ses monts paradisiaques chacun d'un sens opposé pour qu'elle ressente bien la différence.
Il ne savait pas vraiment de quoi elle parlait lorsqu'elle mentionnait les punitions de la princesse qui semblaient si terribles mais c'était sûr que si sa tendre voulait devenir sienne, il ne serait plus question qu'elle se laisse faire par ce tyran.
Un peu agacé par ce propos, le jaloux redonne des coups de reins plus puissant afin de lui faire regretter ce qu'elle insinuait par là.
Jusqu'à ce que la limite soit dépassée et qu'enfin sa semence se répande ardemment dans l'accueil génitale de la domestique.
Haletant, il se retire doucement après un ou deux coups bonus puis la retourne vers lui afin de faire part de son mot à dire dans cette histoire glauque de relation étrange entre une vassal et sa dirigeante.

« Haaa !? De quoi tu parles !? Si pour moi tu es la seule alors c'est évident que tu me dois allégeance, même contre cette prétencieuse !
M'enfin... Ne t'éloigne plus de moi et d'ailleurs tu devrais venir avec moi au palais.
Ne t'en fais pour rien, ici, ce ne sont que de vulgaires prêtres, ils n'ont aucun pouvoir sur la famille royale. Et les rumeurs ne changent pas notre rang. »

Alors que le bougre changeait de sujet d'un baiser brusque mais plaisant, ils sont alors interrompus par la porte s'ouvrant prestement sans qu'ils n'aient eu le temps de se changer.
Et là, on pouvait entendre calomnier :

« Miséricorde ! Comment des princes de hauts rangs ont-ils pu ainsi souiller nos pauvres enfants recueillies récemment !?
Partez si votre conscience veut encore être sauvée !
Ce que vous faites, Dieu vous punira un jour.
Viens mon enfant, immédiatement, il faut vous purifier toutes les deux. »

D'abord trop surpris pour parler, le blanc-bec fronce les sourcils et réplique sans mâcher ses mots :

« La ferme le prêtre. Je connais vos activités illégales de réseaux dégoutants de prostitution. Je viens chercher mon dû.
Cette femme est sous ma protection maintenant.
Si vous insistez, je ferais fermer cette église qui pu votre sperme. »

Vêtant sa protégée de la cape qu'il portait, il la prend dans ses bras à la Bridal style avant de pousser l'obscène sur le côté et partir comme un voleur sur son cheval blanc.
Ainsi ils s'enfonçait dans la forêt jusqu'à ce qu'ils arrivent aux portes du palais.
De-là, il ordonne à ses serviteurs de préparer un bain pour la pauvre jeune fille et des affaires afin qu'elle demeure avec lui —dans sa chambre évidemment—.
Pas un mot n'avait brisé ce silence pour le moment, il ne savait pas comment elle réagissait à ce qu'il venait de lui apprendre indirectement sur ses bienfaiteurs en réalité de pauvres pervers.
Ce n'est que lorsque le bain fût prêt que le brave venait l'accompagner afin de répondre aux questions qu'elle se posait sûrement. Attendant de pied ferme qu'elle lui fasse part de quelque chose de plus apaisant que ce silence de mort.

« Ne sais-tu donc pas que je suis le prince héritier direct au trône ? ~
Tu ne te rappelles vraiment de rien me concernant.. te souviens-tu de Subaru ?~
Ta domestique n'a pourtant pas l'air d'ignorer qui je suis... c'est étrange.. je pensais t'avoir plus marqué que ça.

Ah ? Le penses-tu vraiment ? Que dirai-tu donc de m'accompagner dans les tréfonds du vice dans ce cas ? J'ai bien peur de m'ennuyer sans ma partenaire~  »

Accentuant ses mouvements de bassin à son point de concupiscence, il lâche sa semence au plus profond de ces entrailles, son liquide de reproduction emplissant son antre jusqu'à en déborder, il se retire doucement de sa brunette avant de la retourner face lui pour l'embrasser langoureusement.

« Alors que penses-tu de cette première fois?
Et qu'est-ce qui ne te laisse pas penser que tu n'es pas cette fameuse femme ? Celle qui me fait tant fantasmer ~ »

Jouant encore avec la princesse de cœur, il enlace sa fine taille et embrasse son épaule féminine avant de commencer à se redresser. Se revêtissent en aidant la belle, il enroule son bras autour sa taille et la prend sur son épaule. Sortant de l'Eglise sous les regards ébahies des prêtres pervers, il la monte sur sa fidèle monture noire et part au gallo avec la belle.

«  Je vais te faire découvrir un tout autre monde dont tu ne soupçonne même pas l'existence ~
Alors sois bien sage ~
Pour le moment je te propose de continuer nos petits jeux au Palais, là ou personne viendra nous importuné ~ »

Traversant une forêt assez sombre et effrayante, ils se retrouvent à lors tour devant les grandioses portes immaculées du château de la famille royale.
Descendant de sa monture juste devant la porte d'entrée, il prend la sirène par la taille et demande à ce qu'on lui prépare sa chambre pour deux.
Lui faisant découvrir rapidement les environs, il l'entraîne dans les jardins nés du Romantisme français. Explorant les environs tel deux êtres en pleins effervescences, il la surprend de dos et commence à la caresser avec sensualité en lui soufflant sur un ton sexy et à la fois envoûtant.

« Que dirai-tu de laisser libre court à ton imagination ? ~
Nous ne sommes plus que tout les deux.. et plus personne ne pourra venir te sauver de ma soif de te dévorer de partout ~
Comme dans mon rêve, nous allons prendre la lune à témoin et laisser tes chants extatiques remplacer ceux des cigales ~
Je suis impatient de te faire crier mon prénom jusqu'à ce que la rosée du matin vienne nous surprendre ~ »

Sur un ton maintenant enjôleur, il s'abaisse doucement pour venir défaire les sandales de sa protégé, tout en laissant remonter de manière provocante ces deux doigts par la suite.
Commençant par couvrir sa nuque de petits baisers furtifs, il remonte ses mains jusqu'à sa poitrine – endroit qu'il semblait beaucoup aimé – pour venir les malaxer tout en l'appuyant contre la petite tonnelle ornée de fleur de lys blanc royal. Frottant son membre coquin et aiguisé contre son postérieur,  il sourit vicieusement en lâchant sa prise pour s'emparer de ces deux bras fins, qu'il fait remonté toujours le long de la tonnelle, faisant frôler ses doigts contre les fleurs fraîchement éclos, soufflant contre son oreille rosie, il susurre toutes sortes de fantasmes qu'il avait envie de tester sur la prude.

« Je t'ai tellement attendue.. tu m'as manqué.. Jamais plus je ne te laisserai t'éloigner de moi. »

Prononce possessivement le prince charmer de la belle mais toujours aussi taquin et dominant.

« Je n'ai pas le droit de t'en dévoilé plus.. un sortilège m'en empêchera même si je le veux de toute manière.. tout ce que je peux dire à l'heure actuelle.. c'est que tu m'as sauvée.. et Shuu à sauvé ma princesse.. je vous serai jamais assez reconnaissante pour ça..

Oui tu as raison.. nos sentiments ont triomphaient de tout ça et maintenant nous pouvons nous consacrer l'un à l'autre.. Je vais tout faire pour que ton bonheur soit le plus complet possible.. je vais être une bonne amante..»

Souffle entres quelques gémissements la prude tout en continuant à caresser ces joues pour y dérober à tout bout de champs des baisers emplit d'amour à son égard. Son cœur n'avait jamais battu aussi vite depuis cette métamorphose en humaine –possédant avant des bronchites comme les autres habitants des mers–. Se laissant submergée par toute cette vague de sentiment forte, elle couine son prénom sensuellement tout en se maintenant au parois rocheuses.
Resserrant un peu plus sa prise en plissant les yeux, elle monte au septième ciel au même moment que l'argenté, sentant son antre se faire envahir d'une substance chaude. Baissant le visage, en regardant couler le liquide assez épais et blanchâtre le long de ses gambettes élancées, elle rougit d'embarras tout en se redressant un peu contre le mur.

« Cette substance.. les hommes ont ça quand il atteigne le paroxysme du plaisir ?..
La princesse ne m'a jamais parlé de quelque chose comme ça..
Hito-chan à toujours ce qu'elle veut.. à toi de toujours rester à mes côtés si tu veux réellement être le seul à me toucher et me faire ce genre de chose.
M-mais !? Ça ne va pas être bon pour ta réputation de ramener une fille comme moi au palais.. j-je n'ai pas les manières qu'il faut.. et on risque de se moquer de toi si on te voit en ma compagnie.. Je ne veux pas.. qu'on se raille de toi par ma faute.. je peux peut-être vivre dans une petite auberge à côté ?.. ça serai sûrement mieux pour ton image.. je sais que c'est important l'image que la famille royale doit renvoyer au peuple.. »

Inquiète au début en se demandant si c'était bien normal, elle reste assez consciencieuse ne voulant
pas lui attirer d'ennuis, elle reste surprise et silencieuse face à l'intrusion des prêtres. Honteuse elle attrape quelques bouts de tissus au sol et cache les parties de son corps compromettantes.
Suivant du regard son amant et ceux qui l'avaient recueilli, elle reste muette et se laisse emporter par l'argenté. Comment avait-elle plus se tromper sur leurs comptes? Elle les pensait si inoffensifs.. , elle leurs avaient en quelques sortes confiée sa princesse, résultat, ils attendaient le bon moment pour les violés et ensuite les faire rentraient dans leurs réseau de prostitution.
Se recroquevillant contre le torse de son mâle pendant leurs périple à cheval, elle ne pouvait s'empêché de penser aux quelques moments qu'elles avaient passé avec ces prêtres. Leurs dieu et tout le reste n'était donc que du pipeau !? Ils avaient trahit sa naïveté et sa confiance, cela était impardonnable. Les êtres humains étaient vraiment les pires heureusement existait-il quelques exceptions comme son bel homme.
Se laissant conduire dans la salle de bain privé du jeune monarque, c'est embarrassée qu'elle se dévêtie à nouveau sous ses prunelles qui ne semblaient pas vouloir se défaire d'elle. Rentrant dans la bain, se disant que sa Hito était en sécurité tant qu'elle restait avec Shuu, elle pose son visage sur le rebord de la baignoire à côté de son amant tout en cachant sa poitrine dans l'eau tiède. Ses cheveux mauve relevé à l'aide de quelques barrettes.

« Tu promets de faire en sorte que je n'appartienne que à toi ?... les hommes humains sont vraiment effrayants...
on dirait.. qu'ils ne pensent que à ça.. même le plus doux.. peut cacher un monstre. J'ai peur d'eux maintenant.. j'ai peur d'être souillée..  Maintenant que j'ai réalisé ça.. je dois aussi protéger la princesse de ces hommes affreux pensant qu'à leurs choses.

Je pensais pas tombé amoureuse d'un humain un jour.. mais je suis rassurée que ça soit toi, tu as toute ma confiance.. »

Souffle la belle, un peu sonné de la découverte du mauvais côté de l'homme en entre-croisant ses doigts avec les siens.

Alors que la belle brune ne comprenait presque plus rien de ce que racontait le blond, s'en était presque comme si elle avait l'impression que sa mémoire lui jouait des tours, comme si un morceau de puzzle ne s'emboîtait pas avec les autres. La noiraude comprenait par ses paroles qu'il devait sûrement être ce garçon que le sorcier lui avait fait oublier mais le fait qu'elle ne s'en rende elle-même pas compte la décevait. L'amour était-il quelque chose de si peu significatif pour qu'elle ne daigné s'en rappeler alors qu'elle était persuadée de le reconnaitre sur le champ ?
Plutôt qu'à l'amour brodé, elle semblait plus réceptive au sexe. Et c'était cela qui la rapprochait plus de lui.

« C'est peut-être vous le prince que j'attends dans ce cas.~
Mais... je ne me souviens toujours rien de vous, peut-être que ce n'était pas suffisant, je préfère faire l'amour avec vous, c'est plus amusant qu'une relation trop sérieuse, vous ne croyez pas ?~
Si vous acceptez d'être mon partenaire charnel alors oui, partout, j'irais rien que pour que vous me prenniez sans relâche, oui... !~ »

Ce moment n'était plus de réflexion, cette débauche l'avait menée à un stade supérieur à ce qu'elle pensait. Se faire remplir le ventre de cette substance ardente et visqueuse était la meilleure des choses qu'il venait de lui faire expérimenter. Sentir cette gouache prendre la forme de son utérus la séduisait, son vagin aspirait déjà une quantité astronomique de la chose mais il y en avait tant que ça débordait.
La conquise adorait son sperme lui aspergeant le fond de son entité.
Poussant un couinement d'extase, elle se laisse retourner, acceptant avec ravissement le charmant baiser torride du gentilhomme, elle le regarde avec des prunelles scintillantes de lubricité : pas encore. Elle en voulait encore.

« Qu'est-ce que tu racontes ? Qui vous permet d'arrêter ?
Moi ? Il semblerait que nous nous soyons connus mais... je n'en ai aucun souvenir. Faisons comme si c'était la première fois ! C'est plus excitant ainsi.~ »

Après quoi, elle sentait la semence couler d'entre ses jambes et elle finissait par en prélever un peu sur le bout de son index pour y goûter de curiosité.
Vraiment original mais pas assez pour savoir si c'était bon ou non.
Ensuite, alors que la demoiselle comptait user de son charme afin de le retenir, c'est lui qui l'enlève, faisant un dernier coucou aux prêtres les ayant recueillis, elle ne comprenait pas tout et ne savait même pas dans quoi ils étaient impliqués mais pour elle, ils avaient été d'un grand secours.

Un peu plus tard alors qu'ils venaient à peine d'arriver, la sirène sentait déjà que l'excité lui faisait des avances dans ce jardin rempli de beauté et ne le rejetait pas car elle aimait ce petit jeu. Quand il lui passait cette poitrine voluptueuse et quand il la baisait. Sauf qu'elle avait réellement envie qu'il la "baise" dans le sens vulgaire du terme.
Mais soudainement repérait-elle une fontaine magnifique lui donnant une idée bien meilleur que de faire l'amour contre une tonnelle.
L'arrêtant dans son ascension, la coquine lui prend la main en riotant de son timbre de voix cristallin.

« Allons mon prince, je veux d'abord vous montrer mon secret, ça va vous plaire.~
Venez par ici.~ »

L'entrainant dos au rebord de la fameuse structure aquatique, elle le pousse dedans sans qu'il ne se cogne pour ensuite se dévêtir sous ses beaux yeux : il avait l'air délicieux tout humidifié.
Trempant les pieds à l'eau, elle commence à s'étaler au-dessus de lui lorsque la magie opère et que ses douces gambettes deviennent une nageoire caudale incrustée de perles scintillantes.

« Alors ?~ Est-ce que je vous plaît toujours mon prince ?~
Laissez-moi vous gâter un peu.~ »

Chantonnant de sa voix envoûtante, la créature enchanteresse déshabille le bas trempé de l'heureux élu avant d'immerger son minois dans l'eau afin de scruter de plus près le beau calibre qu'elle ne cessait de palper de curiosité.
Mordillant mesquinnement les deux bourses gonflées, elle vient lécher le membre en son intégralité avant de ne s'occuper que particulièrement du gland.
Peu après le glissait-elle déjà dans sa bouche, beaucoup trop pressée de voir le résultat.
C'est ainsi que la vicieuse lui faisait une fellation pour la première fois de sa vie en commençant d'emblée par des gorgées profondes jusqu'à reconnaitre le goût de son sperme s'écoulant dans sa bouche quémandeuse.


En ce qui concernait le prince peu consciencieux de son image car la royauté lui passait par-dessus la tête et que son aîné gérait tout ça, il évacuait toute la pression de la journée dans ce moment intime avec sa belle qui au contraire était bien trop soucieuse. Évidemment, pendant leur moment de concupiscence, il n'avait répondu à aucune de ses questions mais maintenant qu'ils étaient seuls dans cette fameuse salle de bain, il pouvait aborder les choses dans l'ordre dans lequel cela lui revenait.

« D'abord, c'est vrai que j'aimerais en savoir plus sur ces conditions pour avoir des jambes et je savais même pas que c'était possible mais puisque tu dis que le danger est écarté c'est bon.

En ce qui concerne ta princesse, je commence à trouver votre relation de plus en plus louche je tâcherai de me souvenir de ton conseil.

Ne t'en fais pas pour tes manières, moi-même, je déteste les codes de noblesse alors j'ai abandonné depuis longtemps, je sais que tu apprendras vite en plus. Puis, ces prêtes risqueraient de venir te chercher si ce n'est pas sous ma protection, ça en va de notre vie à nous.

Donc oui, ne t'en fais pas. Compte sur moi et nous d'ailleurs. »

Alors que le mâle papotait dans son grand monologue, il se passait quelque chose de tellement miraculeux que celui-ci ne pouvait que s'arrêtait en contemplant ce que la nature pouvait offrir de si beau à une sirène : une queue si gracieuse de toute beauté. Et c'était en poussant un petit cri de d'ébahissement, qu'il évalue cette nageoire en la tripotant doucement, sentant les écailles humides sous sa paume. Sous contester, c'était une véritable merveille que ce soit sous apparence humaine ou aquatique.
Époustouflé, il ne réagit pas vraiment pendant un moment jusqu'à ce qu'il secoue sa tête pour se reprendre un tant soit peu.

« Wow, t-tes jambes ! Maintenant t'as une queue !!!
Alors au contact de l'eau, tes jambes se transforment en queue de sirène !?
Je suis quand même rassuré, je t'aime en sirène aussi alors je me sentais incomplet. »

Avouait l'albinos en parlant de son côté entité aquatique avec passion. Depuis gosse, il avait toujours été attiré par elle, même avec une queue de poisson, il voulait la prendre pour épouse même s'ils n'appartenaient pas à la même race.
Ça devait être pareil pour son frère mais c'est vrai que pour fonder une famille, les deux parts d'elle seraient intéressant.
Encore une fois, il secoue sa tête brûlante pour se reprendre.
Pour le moment, la priorité était de savoir comment elle se sentait maintenant, si elle ne voulait pas retourner dans l'océan par exemple.
Puis c'était surtout la façon dont il pouvait cacher sa véritable nature qui lui posait problème : si quelqu'un venait à découvrir qu'elles étaient sirènes, princes ou non, ils ne pourraient jamais gérer un si grand engouement du peuple.

« N'oublie pas que tu dois garder le secret, toi et ta princesse, que vous êtes des sirènes. Le peuple n'est pas encore prêt à une telle révélation mais Natsume... il y a quelque chose que je dois te demander... avant tout... »

Prenant un air plus sérieux et embarrassé à la fois, lui prenant une main dans la sienne si virile, comme s'il allait la demander en mariage, ses yeux écarlates s'écarquillent de curiosité lorsqu'il soumet enfin sa question lui turlipinant depuis qu'elle s'était transformée en sirène :

« T-tu n'as pas de tétons ?! Tout à l'heure je les ai touchés ! Comment ça se fait !? »

Toujours avec cette tête d'imbécile qu'il faisait lorsqu'il était face à une équation mathématique, cette fois, cette magie le laissait sans voix. Ces boules énorme traçant ses seins ne comportant pas de pointes. Comment les sirènes faisaient-elles pour faire l'amour sans ressentir de plaisir. Peut-être était-ce mieux pour elle d'être mi-sirène, mi-humaine. Au moins, ils pourraient tout expérimenter.
Mais pour le moment, ce qui le préoccupait surtout était de percer le secret du plaisir chez ces belles enchanteresses.
C'est pour cela qu'il commence par poser ses paumes baladeuses sur sa délicieuse poitrine ronde pour pratiquer quelques palpations afin de tester sa réaction.

Alors que la jeune fille se confessait toujours avec sérieux et tendresse vis-à-vis de son sauveur, elle ne fait pas attention au fait qu'elle avait repris sa forme initiale de sirène. Contemplant sa queue sous les remarques de son tendre, elle rougit à ces compliments et lui adresse un doux sourire avant de couvrir ces lèvres étrangement bavardes pas les siennes.

« J'espère vraiment ne plus entendre parlé de ce maléfice.. mais avec le démon Karl on ne sait jamais.. »

Soufflant à voix basse plongeait dans ses pensées en ne prêtant pas attention à son mâle, elle est très vite rappeler à l'ordre par sa possessivité.

« Nous l'avons fait que quelques fois parce qu'elle était en manque de plaisir.. je dois avouée que j'ai été un peu pervertie et qu'ensuite j'avais envie d'essayer sur un homme ce que j'ai appris.. »

Faisant exprès de laisser sous-entendre des choses bizarres pour le taquiner, elle lui caresse la joue tout en écoutant amoureusement ces paroles avant d'être surprise par son geste. Pouffant les joues, elle retire ces mains de sa poitrine et caches sa poitrine dans l'eau moussante tout en l'éclaboussant.

« Abruti ! T-tu n'es qu'un pervers ! Idiot et pervers !  C'est tout ce que tu regardes chez une fille ? Pfff~ tu me fais le coup avec ma virginité et maintenant mes seins, si je ne te plaît pas dis le tout de suite. La princesse avait peut-être raison quand elle disait qu'être avec une femme c'était moins de soucis qu'avec un homme.»

Appuyant bien les derniers mots en tout provocation, elle riote en le laissant aboyer avant de l'attirer par la manche de sa chemise dans le bain spacieux avec elle.
Caressant à nouveau sa joue qu'elle semblait aimé caresser, elle recouvre encore et encore ces lèvres tempêtant de baiser. Tout en laissant glisser maintenant ses mains sur son torse trempé recouvert de la chemise qu'elle ne tarde pas à défaire.

« Si je ne m'abuse tu ne peux rien me faire sous ma forme de sirène ~
Tout à l'heure.. tu as dis des choses mignonnes avant que ta curiosité malsaine vienne te causer du tors.
Alors comme ça tu m'aimes vraiment sous mes deux apparences ?..
ça doit faire longtemps que tu m'aimes pour avoir de si fort sentiment.. je suis désolée de t'avoir fait autant attendre.. je n'en prend conscience que maintenant.. tu as dû souffrir de notre disparition pendant toutes ces années de silence.
Ahh tu me fais tellement ressentir d'émotion à la fois prince pervers..~
Mais tant que tu n'es pervers qu'avec moi je suppose que c'est bon ?~

Même à travers ma queue aquatique je sens ta chose grossir et se durcir.. je t'excite n'est-ce-pas ?

Comme tu en restes pas moins mon prince je t'autorise à disposer de moi, cependant je te souhaite bonne chance.. les sirènes sont sensibles mais pas au même endroit que les humaines.. et je n'ai pas envie de sortir du bain pour te faciliter les choses, à moins que tu m'y force ?~ »

Jouant à un jeu dangereux entre la taquinerie et la malice, elle commençait à éprouver du plaisir à le chauffer ainsi. Posant ses lèvres tièdes sur son torse qu'elle caressait en même temps de manière alléchante, elle y dépose quelques baisers tout en mordillant à quelques endroits pour y laisser quelques marques rougeâtres.

L'aguichant à l'aide de toute sa sensualité et des méthodes que sa princesse lui avait montré, elle était impatiente de voir sa riposte, approchant ses lèvres toujours, de ces oreilles, elle les mordilles en gémissent faussement.

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Au moment où il l'avait vu amasser son sperme pour le goûter sensuellement, il avait su qu'il devait pas continuer dans cette voie. Il l'avait apprit dans l'un des nombreux ouvrages de la bibliothèque royale que les sirènes une fois en proie du vice ne vivait plus que pour ça d'un appétit insatiable. Bien qu'un autre homme aurait sûrement laisser le processus arriver à terme, il aimait la princesse pour tout ce qu'elle était et la savoir en un pareil mal, le rendait un peu mélancolique malgré ses retrouvailles tant attendue avec elle.
Ne s’attendant pas à être pousser dans la fontaine italienne du jardin, il attiri sur le postérieur le corps et le visage trempé. Ses fines bouclettes dorées retombant sur son visage princier, il la laisse lui montrer la chose qu'elle voulait tant lui montrer.

« J'espère que tu vas pouvoir te rattraper. Dans le cas contraire, sache que je vais te punir fermement et marquer ton corps immaculé du mien. Alors tiens toi prête. »

Souffle entres ses bouclettes le blondinet l'observant attentivement. Râlant de surprise qu'elle est connaissance d'un tel stratagème pour faire plier les hommes de son envergure. Il passe l'une de ses main dans sa chevelure ébène qu'il caresse familièrement tandis que quelques râles se laissaient entendre parme les bruits de jet d'eau tout autour d'eux. Il contemplait bien sûr aussi sa queue richement décoré de princesse sirène, ça lui avait tant manquer qu'il en était nostalgique.
Descendant sa main petit à petit sur sa queue, qu'il caresse de manière inattendu à un endroit très sensible, un large sourire mesquin de vainqueur s'affiche sur son visage.

« Tu croyais être la seule en mesure de me déstabilisé ? ~
Raté Hentai Hime mais je dois avoué que ce que tu me fais là n'est pas mauvais..Aaanhn~
Je me demande bien où tu as plus apprendre ça d'abord ? ~ J'aimerai en savoir un peu plus sur ces jambes qui disparaissent au contact de l'eau, il faut toujours une contre-partie en échange de quelque chose n'est-ce-pas ? Qu'as-tu sacrifiée pour un tel résultat ? Non que tes jambes ne me plaisent pas.. je m'inquiète pour toi et ta santé. »

Admet le prince en continuant sa caresse perverse tout en la contemplant de ses prunelles profondes iolites reflétant toutes la sincérité de ses dires.
Il avait appris beaucoup de chose sur les fonds marin et avait connaissance de quelques légendes. Il sentait qu'en plus de sa mauvaise passe à sombrer totalement dans le vice, un autre danger la guettée.. et il était hors de question qui ne laisse une fois de plus le destin se jouer d'eux en les séparant à nouveau.
Libérant sa substance procréatrice à nouveau sous l’expertise inattendu dans l'ex-jouvencelle, il la redresse par le menton pour venir lui lécher torridement la joue.
Reprenant le dessus en la mettant sur le dos dans l'eau, c'est des yeux pétillant de malice et d'avidité à elle, qu'il sort une petit fiole de sa poche et qu'il déverse sur le haut du corps dénudé de la belle.
Passant ensuite deux de ses doigts pour venir bien enduire la substance liquide, il joue sur tout son corps en appuyant bien sur les zones sensibles avant d'abaisser ses lèvres pour venir mordiller l'un de ses seins tout en maintenant de son autre main les poignets de la jeune femme.

« Et bien~ Ta poitrine sous forme de sirène n'est pas si mal après tout même si vous semblez ne pas avoir la même composition que celles des humaines.

Quoi qu'il en soit tu vas voir~
Toi qui aimes découvrir de nouvelles sensations tu vas être servie avec cet aphrodisiaque. »

Pensant qu'à lui faire du bien pour le moment malgré toutes ses réflexions il réglerai les choses petit à petit pour leurs bonheur à tout deux.
Relâchant ensuite ces poignets, il passe son membre ayant encore doubler de volume entres ces deux monts voluptés pour commencer à les frotter contre son serpent taquinant la bouche raffinée de la demoiselle.

« Tu me suivra donc partout tant que je te ''baise'' ?~
Ce n'est pas ce que j'attend mais pour ce soir, seulement ce soir, je vais en faire selon ton désir, nous avons été éloignés si longtemps après tout.. »

À dire vrai, la princesse avait ressenti une gêne occasionnée chez le mâle lorsqu'il avait remarqué qu'elle n'était pas éprise de lui comme lui l'était envers elle.
Une relation sérieuse était abstraite dans son esprit amnésique, jamais la royale ne s'attarderait dans une relation irrationnelle pour elle.
Néanmoins, le prince avait l'air de tellement vouloir sauver son âme pécheresse qu'elle n'avait d'autre choix que d'avouer.
Malgré tout son cas prétentieux l'en empêchait pour le moment tandis qu'elle lui administrait la fellation de sa vie.
Comment ça "pas mauvais", le blondinet commençait sérieusement à la lasser avec ses commentaires encombrants. Dans un si grand Palais, il ne serait pas difficile de trouver quelqu'un d'autre. Appréciant néanmoins la texture de son sperme qui lui ne mentait pas.
Relevant le minois de cette petite étendue d'eau, la jeune fille le scrute d'un air renfrogné lorsqu'il touche à sa queue de manière déplacée et embarrassante. Bizarrement, lorsqu'il s'agissait de sa véritable apparence, ses membres étaient bien plus sensibles et vulnérable, ce qui la rendait réservée et timide de ses joues rosies.

« Quel goujat ! Vous vous croyez toujours tout permis et rien n'est assez bon pour vous.
Eh bien, moi, Monsieur je n'avais que des ouvrages et une servante du même sexe. Je ne suis pas comme vous qui prétendez n'importe quoi pour séduire une sirène princière que vous n'aurais jamais avec un tel comportement.

Mais jambes ont été obtenues en échange des souvenirs de la personne que j'aime et de mon sursis de trois mois.
J'ai accepté car je pensais que ce serait évident de le reconnaitre si je le voyais. Donc je suis toujours sceptique au fait que ce serait vous.
Vous êtes si grossier avec moi. »

La vexée ne répondait plus de ses mots et pouffait les joues d'un air boudeur.
Elle s'en fichait pas mal qu'il soit "inquiet" pour elle. De toute façon, elle ne recherchait pas un partenaire à vie.
Et même s'il essayait de le re-séduire en lui léchant la joue ou quoi, elle semblait toujours aussi fâchée.
Cependant, c'était jusqu'à ce qu'il sorte ce flacon de sa poche et l'en induisait comme un mal appris. L'effet fût immédiat, elle se sentait brûler de l'intérieur et rien ne semblait pouvoir l'arrêter. Ne réagissant pas lorsqu'il la renverse et l'empoigne sauvagement, elle est gênée qu'il la touche et l'agite ainsi, il tripotant tellement son mont généreusement développés qu'elle n'arrivait plus à se concentrer sur sa bouderie et faisait même élever son chant envoûtant.
On aurait dit qu'il voulait se rattraper de ce fait.

« Hmmph... c-c'est vraiment embarrassant, vous touchez mon corps de sirène, nous sommes très sensibles...
P-pas comme ça sinon je vais- »

Tremblant de tous ses membres, la beauté ne pouvait que sentir cette verge triplant de volume assaillant ses montagnes douces jusqu'à ses lèvres ensorcelantes.
Sortant le bout de sa langue afin de lécher convenablement le bout de son gland, elle essayait de faire rentrer ce bâton ardent dans sa cavité buccale pour lui donner autant de plaisir qu'elle en ressentait tout en poussant quelques soupirs et ronronnements de sirène.

« Mmmh~! Délicieux... vous aimez tellement vous faire sucer jusqu'à ne plus rien avoir en stock ?~
Je vais vous aider à réaliser votre souhait.
Je n'ai pas besoin de vous, je suis sûre que je suis assez charmante et compétente pour en faire craquer plus d'un comme vous.~ »

Se raillait la rancunière en perpetuant ses gestes jusqu'à ce qu'à nouveau la substance lui gicle dessus, bien plus de chaleur, c'était beaucoup trop pour elle. Jamais elle ne serait satisfaite juste avec une fellation.
Détournant son regard de lui, la princesse se met au défi de lui résister juste pour le rendre plus pathétique comme ce qu'il avait voulu faire avec elle.
Aussi méchant et bête que lui, c'était sûr que pour elle, il n'était pas son prince charmant. Il ne lui restait plus qu'une semaine et six jours. Son temps était compté alors autant en profiter.
Elle n'aurait aucun remord à se servir de lui pour le moment. Après tout, elle s'en ferait une priorité de le soumettre et lui rabaisser son clapet de petit être hautain. Elle était la princesse des océans, pas un minable humain possédant un petit territoire.

« Est-ce que vous connaissez d'autres beaux jeunes hommes dans le coin ?~
Je serais ravie de les dévorer un par un.~
Après tout, je ne pourrais pas savoir si vous êtes meilleur ou mauvais ou "pas mauvais".~ »

Retourner le compliment au gentilhomme bien trop impoli à son goût.
Croisant les bras en ignorant au mieux les effets de l'aphrodisiaque avec sa volonté de fer ne voulant pas se plier à lui, l'entité aquatique désire rentrer au palais pour se reposer de cette journée bien mouvementée.


Ne sachant pas vraiment de quoi parler la sirène un peu trop confiante et insouciante à présent, le mâle déglutissait à la mention du nom "Karl", ça ne lui évoquait pas de bons souvenirs. Même c'était les pires de sa vie. Peut-être n'en avait-il pas besoin de lui en parler mais cet homme était le plus mauvais père au monde, peut-être était-il ravi qu'il ait disparu à jamais, laissant juste au pouvoir la reine en attendant que l'un de ses fils se marie —il était pratiquement sûr que ce serait Shuu comme c'était le plus populaire puis c'était aussi un gros pervers caché—.
Poussant un soupire en pensant que ce n'était pas du même qu'ils parlaient —ne l'imaginant pas avec des super pouvoirs avec une queue de poisson—, il se contente de répondre à son autre réponse concernant les jeux de la princesse.

« Hein ? Ouais, ça m'étonne pas d'elle que tu te fasses mener par le bout du nez.
Cette fille à toujours été bizarre.
M'enfin du moment qu'elle aille valser avec l'autre pervers ça me va.
Mais toi, j'te retiens, comment ça avec un autre homme d'abord !? »

Toujours sur la défensive, le jeune homme semble un peu désintéressé quant à ses jérémiades alors qu'il savait très bien d'après ce qu'elle disait et faisait qu'elle aimait ce genre de chose.
C'est pourquoi, lorsqu'elle lui enlève ses pattes de sa digne poitrine, il l'éclabousse en grognant.

« Au moins, je ne fais pas de choses bizarres moi. Puis ça devrait pas déranger une fille qui "cherchait à le faire avec un homme". Perverse toi-même.
Et ta pimbêche de maîtresse elle n'est pas mieux pour dire quoique ce soit sur nous.
On est pas sûr sur votre virginité d'abord. Tch. »

Mais comme la coquine s'amusait ensuite à le séduire, il lui sourit d'un air triomphant, qui voulait dire que c'était bien ce qu'il avait dit.
Puis la laissant le dévêtir sans intervenir pour savoir ce qu'elle avait appris avec la brune, il commençait à se faire des scénarii en les imaginant toutes les deux à faire leurs choses ce qui le rebutait totalement.
Il reprend le dessus en d'esclaffant de ses gestes outrageants.
En répétant sous l'agilité de ses doigts les zones délicates des écailles de la donzelle qui se croyait prémunie de tout.

« Ah, si tu penses là tout ce que tu dis, je vais devoir te prouver le contraire pour te montrer que ta science influencée de celle de ta vicieuse sont fausses.
D'ailleurs je suis sûre que tu sens autres choses qu'une bosse non ?~
N'es-tu pas assoiffée ? Je veux tester tes talents en apnée de sirène, montre-moi donc ta fierté.~ »

Après multe baisers, il passe la main sur sa nuque pour soudainement l'arrière vers le fond de l'habitacle d'eau, juste à l'endroit où ce bâton se faisait titiller afin qu'elle puisse lui montrer ce que cette teigne lui avait appris. Attendant avec impatience la façon dont elle le traiterait et surtout comment il s'en venterais devant l'autre obsénité.

Dépaysé par le comportement et les propos de la prude, il jouit une nouvelle fois dans la cavité buccale de la brunette avant de se redresser promptement tout en lui tendant la main. La prenant dans ses bras, bien qu'elle ne soit pas vraiment décidé, il la porte hors de l'eau. Émerveillé par la jeune femme qui reprenait son apparence humaine dans ses bras, il répond rapidement à ces provocations l'air de rien bien qu'à l'intérieur il bouillonnait de rage.

« Je vois ce que tu veux dire. J'aimerai en savoir d'avantages dans les détails, il y a toujours une solution à tout. Pour moi, c'est une évidence, je t'ai considéré comme ma petite sœur au début de notre rencontre sur cette plage.. mais mes sentiments on bien vite évolués. Plus nous grandissons, et plus je ressentais de l'envie et je nourrissais des rêves comme devenir ton preux chevalier. Moi et Subaru avons beaucoup été affecter par votre disparition. Sache que je ne veux plus te perdre.
Je comprend que cela soit sûrement.. décevant. Mais mon rêve.. mon espoir.. hormis rendre mon peuple prospère comme tout souverain est avant tout de te combler de bonheur. Quand j'ai entendu parlé d'une jeune et jolie brune au prunelles écarlates, dés cet instant j'ai su qu'il ne pouvait s'agir que de toi. »

Se confessant un peu maladroitement  tout en restant un peu flou, il la pose à terre pour passer sa large chemise trempée sur ces frêles épaules avant de la prendre cette fois-ci sur son dos pour la conduire à sa chambre.
Installer dans le lit, il la regarde envoûter parader devant lui pour se coucher à son tour dans le fameux lit.

« Tu as vraiment fait des choses avec ta servante ?
Je vois que ta perversité à commencer tôt.  Mais quoi qu'il en soit, je ne tiens pas à ce que tu recommences ce genre de chose avec quelqu'un d'autre que moi.. De mon côté, bien que j'ai du ''succès'' avec les femmes, je n'ai jamais jugé utile, de tester, comme je te l'ai dis dans le confessoir, je n'attendais que toi et toi seule.

Je veux t'aidé à retrouver ta mémoire. »

Ses prunelles iolites s'intensifiant comme à chaque fois quand il prenait un air sérieux, il lui caresse le sommet du crâne avant d'y déposer un tendres baisers.Il semblait que ses angoisses et tremblements de cœur ce soit apaisés depuis le retour de sa jouvencelle. Le passé et du passé, c'est ce qu'il se disait quant à ces aveux sur ces éventuelles tromperies bien qu'il soit jaloux de ne pas avoir été sa première fois. Il était vrai que maintenant qu'il y pensait, lorsqu'il l'avait prise la première fois, il n'avait pas senti la membrane de virginité se brisé sous son phallus imposant.
Se redressant sur son coude de sorte à ce que son visage soit juste au-dessus du sien, il s'abaisse pour venir taquiner coquinement ses lèvres pécheresses sous les reflets lunaires.

« J'essaye de me retenir.. mais avec une créature telle que toi à mes côtés.. j'ai du mal à gardé la raison. Épouse-moi Hito, deviens mienne, j'ai tellement de choses à te faire découvrir.. nous allons arrangé cette affaire et une fois fait, vivre pour nous.
Tu n'as pas à t'en faire pour ta servante, je vais t'en trouvais une autre. Tu es la princesse des océans, mais deviens aussi ma princesse et règne sur tout mon être comme je vais régné en maître sur ton entité débordante de vice mais pas que. »

Passant sa main sous le drap,il remonte sous une torride caresse la petite chemisette faîte de soie de la belle tout en la contemplant avec une flamme de malice bien distincte à présent dans ses prunelles perfides.
S'attardant ensuite sur sa petite culotte –que lui avait conseillé de porter les servantes en connaissant bien leurs maître–  il passe sa main en dessous en reprend ses caresses avant d'entrer avec une fausse innocence deux de ces doigts qui vienne taquiner son clitoris.
Le tout couvrant son cou de ''léchettes sensuelles'' incitatrices attendant sa réponse qui changerai à jamais sa vie.

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« …. Je n'aurai sûrement pas dû.. je m'excuse.. tu sais.. tout à l'heure dans le confessoir.. j'ai fais exprès de dire ça pour te provoquer.. je voulais que tu me sautes dessus littéralement.. tu m'as tellement manqué.. je n'ai jamais pensé à la faire avec un autre homme. Mais comme tu ne m'as même pas reconnu.. je me suis dis que j'allais sûrement devoir attendre des années si je voulais de la tendresse de toi..  je me sentais pas la force d'attendre.. »

Se confessant en le sentant plus froid avec elle, elle lâche prise en le contemplant silencieusement, ses prunelles améthystes brillantes, ses pommettes rosies par la situation et la chaleur du bain, elle frémit aux caresses sur ses écailles.

« J-j'ai quand même du mal à croire q-que tu m'aimes aussi sous ma forme aquatique.. c'est pas vraiment séduisant cette queue.. »

Ne le voyant pas venir, elle ne s'attendait pas du tout à ce retrouver au niveau de son antre jambe. Nez à nez avec son membre déjà bien durcit, elle s'embarrasse d'autant plus à lui faire autant d'effet sous cette apparence. Prenant une petite inspiration, elle caresse timidement son bâton du vice avant de le placer entre ses deux monts paradisiaques tout en commençant à les caresser contre son serpent. Attendant un peu, elle finit par lécher toujours avec timidité le bout de son phallus avant de le mettre à pleine bouche, ayant un peu de mal au début dû à la certaine grosseur qu'il avait, elle finit par trouver un rythme qui semblait tellement y plaire qu'elle reçoit sa substance épaisse et blanchâtre sur son minois et sa poitrine.
Se redressant de sorte à être plus à l'aise, elle trempe son doigt dans les quelques tâches pour venir l'apposer à ses lèvres et ainsi y goûter.

« Ce n'est pas si mauvais. Mais je ne te permet pas de douter de ma parole. Serai-tu entrain de me traîter de menteuse ?
J'étais vierge jusqu'à ce que tu me prennes dans l'église. L'anatomie des sirènes et différente à celle des humaines. Ça tombe pourtant sous le sens, non ? Et puis.. comment était au courant de ce genre de chose ? Je pourrai très bien avoir des doutes, me dire que tu l'as fais avec une humaine vierge. Pourtant.. tu m'as dis '' je t'ai attendu'', donc je te crois sur parole et j'ai confiance en toi, si toi tu n'es pas ainsi avec moi, nous pourrons jamais être ensemble, la confiance est la base de tout couple non ? .. pour les sirènes c'est ainsi. Moi et Hito-chan prenons déjà beaucoup de risque à accepter votre amour. Nous allons nous faire renier de notre peuple, pourtant nous le faisons sans regret, n'est-ce-pas là une belle preuve d'amour ? »

Vexée qu'il remette sa parole en doute, redresser sur ses deux bras pratiquement à califourchon sur lui, bien qu'elle soit couverte de la tête à la queue de sa substance, elle lui lance une moue boudeuse avant de venir lui dérober un baiser un bestial.

« Cela mérite une punition, alors laisse toi punir sagement de ton manque de confiance en la femme que tu es sensé ''aimé'' »

Pour la princesse, il était inconcevable qu'on ne se plie pas à sa volonté et cela en résultait par ses signes de bouderie lorsqu'il la montait au palais dans sa chemise qui sentait son odeur naturelle. Dans un sens, ce n'était pas plus mal, elle avait toujours rêvé du jour où revoir son prince charmant serait accessible. Mais bizarrement avec lui, elle n'en avait pas la sensation, c'était comme ressentir une attirance, un plaisir exquis sans que son coeur ne batte d'autre chose que de stimulation sexuelle lorsqu'il la prenait charnelle ment entre ses bras puissants.
La douce savait également que le jeune homme était intéressé par elle au point d'insister sur la mise en valeur de ses sentiments pour elle. Se roulant sur la couche du prince en délit de fricotter avec une sublime sirène, elle se défait de la chemise virile pour enfiler quelque chose de plus torride et sensuelle à la fois.
Et la ravie ne pouvait que sourire de malice quand le mâle réagissait mal à tout ce qu'elle osait lui conter.

« Je vois... Tu dis que tu es la bonne personne pour moi ?~
Que tu m'attends depuis longtemps ?
Pourquoi veux-tu trouver une solution ?~ Tu n'as qu'à t'amuser avec moi puis m'aider à m'amuser avec d'autres. Hihi.~
Mais dis-moi, tu ne serais pas jaloux ?~
Je peux te dire tout ce qu'on a fait avec elle.~
D'abord j'ai appris à sa poitrine à bien se tenir et la faire grossir... ensuite, je l'ai touchée à des zones érogènes et je prévois aussi de lui faire rentrer un corail dans sa fleur fragile pour savoir comment elle réagirait !~ C'est toi qui m'a inspirée.~
Tu sais, nous n'avons pas le même système de plaisir chez les sirènes... Il n'y a pas d'acte charnel entre nous... Alors tu vois, c'est beaucoup plus amusant d'être humain.~
Si tu veux m'aider alors tu sais quoi faire.~ »

Répondait calmement la noiraude en s'amusant à retracer les courbes et rebondis de son corps entre ses mains félines. Il fallait dire que l'être séduisant n'était pas prince pour rien, aussi beau que confortablement installé avec un lit moelleux et rebondissant comme ses monts paradisiaques. Sentant ses lèvres sur les siennes la coquine ne pensait même plus à bouder, beaucoup trop attirée par le vice et l'organe formant une bosse sous son pantalon. Engageant son muscle buccale par la même occasion avant qu'il ne devienne plus insistant sur le fait qu'elle n'avait pas était nette jusqu'à présent.

« C'est bon. Ce n'est pas comme si j'avais couché avec ma servante. Je faisais juste des petites expériences.
Puis c'est toi qui m'a pénétrée la première alors je pense que c'est donnant-donnant. Il n'y a rien de plus ou moins pur que l'autre. »

Encore assez remontée, ce n'est que par ses baisers et sa malice que la beauté se laisse attendrir.
Maintenant lui parlait-il de mariage. C'était assez intrigant. À dire vrai la curieuse n'avait jamais entendu parlé de cette pratique qui était exclusivement humaine sûrement.

« J-je... Si tu veux tant que ça me "baiser" alors viens là sans discuter et dire des choses incompréhensibles...
Je ne veux pas spécialement régner... Et si quelqu'un apprenait que je suis une sirène alors ce serait l'extinction de notre espèce...
Moi, je ne veux que ressentir du plaisir après je retournerais à la mer ! »

S'exclamait la capricieuse avant de se faire prendre de dos tandis qu'elle pouvait sentir son amant la titiller afin de l'humidifier pendant qu'elle était presque nue et démunie face au grand pécheur. Elle avait envie de lui.

Sentant une atmosphère plus pesante chez la demoiselle à queue de poisson après cette petite scène où l'enjeu était une question de doutes à propos de l'amour ou du plaisir, il la regarde encore d'un air sceptique avant qu'elle ne déroule son tapis de révélation. Et comment ? Bien sûre que la jeune femme n'aurait pas dû lui parler de ce genre de chose troublante alors que lui l'avait attendue tellement.
Mais comme elle paraissait se rattraper, cela ne faisait plus aucun doute dans son coeur qu'elle ne l'avait jamais trahi même si cette princesse à tous les coups n'était qu'un tyran et une dangereuse perverse d'avoir fait subir ça à la femme de sa vie.

« Je le savais au fond de moi mais... Ton silence a été trop long que je l'avais mal pris, c'est vrai. Mais je n'ai aucune raison de ne pas te croire aujourd'hui.
Puis y'a cette truc de la malédiction donc bon, peut-être que c'était pour que je parte au quart de tour donc. Bon je passe pour cette fois mais ne t'avise pas de faire ça avec un autre homme. »

Répliquait alors le faux hostile en acquiesçant enfin quand une fois de plus la taquinait-il avec sa queue quand la sirène se retrouvait démunie sans pouvoir protester et même commenter dessus.

« Qu'est-ce que tu penses, j'aime bien tout ce qui vient de toi... Et cette partie est très importante pour moi, c'est toi-même que je te préfère après tout.~
M'enfin ça ne vaut que pour toi... Je n'aime pas celle de ton amie. »

Le grand frustré se souvenait encore de mauvais souvenirs dû à cette époque où ils venaient de faire connaissance et elle ne s'était pas gênée à lui donner des tartes au poisson alors qu'il venait de sauver sa domestique.
Poussant un soupir à ce souvenir agaçant, il ne tarde pas à en poussant un autre de complaisance et plutôt des râles même en constatant la surface à la fois douce et glissante de la poitrine de la sirène si bien qu'on aurait dit qu'elle avait mis du lubrifiant sur elle.
La suivant du regard sans la toucher, beaucoup trop craintif à l'idée de la faire s'arrêter en si bon chemin, il serre les rebords de la baignoire qui s'affaissent à sa poigne dans des sons de grincements.
Cela dure jusqu'à ce qu'enfin il se relâche et la voit entrain de goûter sa mixture. Un peu embarrassé mais surtout envoûté par cette vue, le jeune homme ricane d'un air malin lorsqu'il prend de l'assurance en lui donnant la permission :

« Bien. Puisque tu y tiens tant, j'ai hâte de voir comment tu veux t'y prendre.~ »

Il attendait à présent que se dévoile la perverse tandis qu'il croisait les bras en haussant des sourcils après le baiser provocateur qu'elle lui avait donné.

Il en découvrait peu à peu sur les sirènes, s'étant intéresser sur le sujet dés sa première rencontre avec la petite princesse capricieuse qui avait conquit son tendre cœur d'enfant. Il avait dévoré tout les livres du palais traitant du sujet mais dans aucun il ne faisait mention du plaisir vécu par les sirènes. Alors elle n'était qu'un être dépravée sur terre? Il ne voulait pas y croire. Cette petite fille qu'il avait rencontré des années plus tôt.. était munie de sentiment autre que la luxure. Ne disant rien dans un premier temps, en pleine réflexion, son côté dominant reprend le dessus et il ne tarde pas à la plaquer contre le matelas moelleux pour se positionner juste au-dessus. La scrutant dans le silence le plus complet, il vient plaquer ses lèvres envoûtantes contre les siennes avides, prolongeant se baiser qui devenait peu à peu plus bestial avant d'y mettre un terme malgré lui.

« Je ne te considère pas comme un simple objet dédié à la concupiscence, tu es avant tout une femme.. la femme que j'aime. Je ne comprend pas ce qui se passe en toi, j'admet être dépassé, souhaites-tu vraiment retourner à la mer après avoir été utilisé ainsi ? Je n'ai pas voulu en parler tout à l'heure pour voir si tu as allais m'en parler de toi même. Je suis au courant pour ce sorcier, je le connais de réputation et il en va s'en dire qu'il n'a pas du t'offrir une pert de jambe gratuite par simple plaisir. De plus si les tiens apprennent ce que tu as fais, penses-tu vraiment qu'ils vont te ré-accepter parmi eux ?
Bien que je sois heureux, cela reste égoïste, en te voyant ici je savais très bien que tu avais dû faire un choix. Et tu veux me faire croire que tu as fais le choix de tout perdre juste pour quelques verges d'humains ? Je ne sais pas si je suis celui qui a réussi à te faire louper un battement, tout ce que je peux t'affirmer actuellement.. c'est qu'en tant qu'homme, je n'ai qu'un cœur à offrir, et j'ai su dés nos premiers regards échangés que tu étais cette femme. Celle qui devait changé le cours de mon destin. Je ne suis sûr de rien, mais je pense que ça vaut le coup d'essayer. Sous tes airs d'aguicheuse me provoquant, tu es une jeune femme droite, courageuse, admirable et aimante, en venant ici je ne pense pas que tu cherchais réellement ça, ne cherchais-tu pas le grand amour ? Peut-être est-ce différent le processus chez les sirènes. Quoi qu'il advienne je ne peux pas te laisser faire ça.. certain humain ne sont pas fréquentable.
Ma proposition de mariage tient bien sûr toujours, ce n'est pas quelque chose à prendre à la légère et j'ai conscience que tu es besoin de temps pour réfléchir, nous protégerons ton secret ne t'en fais pas de ce côté là.
Puis.. ce que tu as fais avec cette servante.. nous n'étions pas ensemble après tout.. bien que je ne te cache pas que je sois jaloux.. je n'ai rien à remettre sur le tapis. Mais maintenant c'est différent, du moins pour moi ça l'est..~ »

Sincère dans chacune de ses paroles, il ne l'avait pas quitter du regard, si elle ne ressentait plus les mêmes sentiments que dans le passé pourquoi ne pas l'aider à ? Bien que Natsume était monopoliser par son jeune frère, une fois le maléfice levé, elle lui avait tout expliquer dont sa perte de mémoire au profit de ses gambettes.

« Puis je ne pense pas que tu puisses faire quoi que ce soit à Natsume maintenant, je te rappel qu'elle monopoliser par mon frère, et le connaissant, ça m'étonnerai qu'il lui laisse une minute à elle~ »

Après avoir longuement discuté avec elle pour lui faire part de ses ressenties et de ses projets, il entreprend enfin de commencer les préliminaires. Il percevait très bien dans ses prunelles rougeâtres son désir ardent, et la connaissant, sachant qu'elle était capable d'aller voir ailleurs pour se satisfaire, il préférait que ça soit lui qui cède à son caprice. Redécouvrant son corps aux courbes gracieuse et parfaite, il laisse sa main danser avec expertise sur l'épiderme ardente de la jeune femme. Il devait bien avoué qu'il ne se lassait pas de ces petits couinements et mimiques qui ne faisait que s'ajouter à son charme naturel.
Déposant furtivement mais habilement quelques baisers brûlants de passion par-ci et par-là, en laissant quelques marques rougeâtre sur sa peau de porcelaine à quelques endroits bien démonstratif , il soulève l'une de ses gambettes à partir de sa cuisse qu'il plaque contre son bassin. Alors qu'il s'occupait de sa douce poitrine, un endroit qu'il affectionnait plus, il remonte petit à petit son visage dans un chemin parsemé de baisers délicats tout en insérant son monstre en sa fleur vaginal. Lâchant un petit râle du à l'étroitesse étonnante de la belle, le coquin donne déjà quelques coups de hanches en lui dérobant ses lèvres sexy sous un autre baiser langoureux. Sentant qu'elle était de plus en plus à l'aise, il augmente la cadence, qu'est-ce qu'il aimait aussi percevoir ses expressions sur son visage qu'en elle était dans cet état, il n'y avait pas à dire, elle était bien celle qui l'aimait depuis toujours. Maintenant avec un peu plus de fermeté sa cuisse, il donne différente cadence cherchant toujours son point de frustration le plus intense pour enfin lui donner ce qu'elle désirait tant. Le bout de sa verge tapotant bien contre son point culminant de plaisir, –bien que sa décision soit sûrement égoïste– il avait décidé de ne pas faire attention à tout ce qui entourer la contraception pour des raisons que l'on pouvait aisément deviner. Son corps dérigeant le moindre mouvement de sa frêle entité, leurs sueurs du à leurs sulfureux ébat ne pouvait que se mélanger pour ne former plus qu'un comme leurs entités semblant s'assembler à la perfection.

Souriant à sa petite menace, elle renouvelle leurs baiser en y mettant plus de sensualité et de passion. C'était donc ça ? La princesse lui en avait parlé, apparemment le désir ressentit par une sirène était plus intense, elle se sentait toute chose et ressentait une envie ardente qu'il la prenne encore et encore jusqu'à l'épuisement total. L'amour qu'elle avait ressenti pour lui pendant leurs enfance ne faisait que de s’amplifier encore et encore. Elle ne savait pas si cela aller plaire à sa princesse mais pour le moment elle voulait profiter du temps présent.

« Je t'ai attendu pendant si longtemps.. penses-tu que l'idée me viendrai en tête?~ Je n'ai envie que de toi, tu es le seul à pouvoir me satisfaire.. alors ne te fais pas de soucis, tu es mon prince après tout~ »

Mordillant sensuellement sa joue, elle continue ses petites provocations avant de s'arrêter tout d'un coup les joues rougissantes. Embarrassée par sa déclaration, elle cache sa frimousse contre son torse en plissant les yeux.

« Ce n'est pas ton genre de dire les choses aussi clairement.. c'est embarrassant.. surtout quand c'est toi qui le dit.. je sens mon cœur palpiter, je suis heureuse de t'entendre dire ces quelques mots..»

Totalement pardonné, bien qu'elle avait été un peu déçue qu'au début il pense qu'elle est plus le tromper, elle demande de l'aide pour sortir du bain, pour la suite, elle avait besoin de ses petites gambettes, elle et la princesse avaient tant souffert pour. Retrouvant son apparence humaine, elle le prend par la main et le conduit à son lit pour plus de confort. Complètement nu l'un à l'autre, elle le chevauche un peu hésitante au début, c'était bien étonnant qu'il ne fasse rien pour reprendre les rênes, alors profitant de l'occasion, elle s'empale petit à petit jusqu'à bien sentir son membre complètement entrer en elle. Lâchant quelques gémissement, elle s'appuie paumes contre son torse et commence à se bouger de haut en bas pour lui. Bien qu'elle était sensé le punir, elle avait envie de le torturé de plaisir tout en y trouvant son compte. Ce pourquoi elle finit par mettre ses mains dans les siennes de sorte à ce qu'il puisse rien contrôler. Le rôle de dominant la changer mais n'était pas si désagréable après tout.